Hier, pour le traditionnel dîner-barbecue des employés de NAV Canada de l’aéroport de Saint-Hubert et de leurs amis, nous avons eu droit à une démonstration acrobatique de Frank Fournelle avec son Pitts Ultimate 10-201 immatriculé C-FFFU. Par ailleurs, pour transporter les invités de l’Escadron 438, un Bell CH-146 a simplement traversé la piste 06L/24R pour se poser non loin de la tour de contrôle !

L’autre jour, à cause de travaux se déroulant dans mon bureau à l’étage, j’ai été "envoyé en pénitence" dans le sous-sol où se trouve mon ordinateur et mon scanneur essentiellement dédié à la numérisation de photos. Durant ce bref exil, j’ai donc numérisé et traité quelques photos provenant de chez Northrop. Il faut savoir qu’avant l’avènement d’Internet, les manufacturiers imprimaient de très nombreuses photos à l’attention des médias et, un bon moyen pour en récupérer étaient les salons de l’aéronautique comme Le Bourget et Farnborough, par exemple. En ce qui concerne ces quelques photos de Northrop, j’ai dû les recevoir ou les avoir échangées avec d’autres.

29 mai 2018. Effectuant avec Louise une balade autour du lac de Neuchâtel et dans le Jura, nous aboutissons à la Chaux-de-Fonds, haut-lieu de l’industrie horlogère suisse. Sachant qu’à l’aéroport des Éplatures, il peut y avoir des jets affaires, nous y effectuons un petit crochet. Mais c’est à un tout autre spectacle auquel nous avons droit !

En effet, dans un coin de l’aire de stationnement des aéronefs, la carcasse du Piper PA34-200 Seneca HB-LER ainsi que des débris d’avions ont été installés pour simuler un "crash". Et comme si on attendait que nous pour débuter, dès que nous arrivons sur les lieux, le feu est mis à quelques débris qui dégagent une belle fumée noire. Des observateurs munis de gilets fluorescents attendent sur le bord du site, prêts à prendre des notes sur le déroulement de la suite …

Un premier camion de pompier arrive sur les lieux et les quelques hommes du feu maîtrisent très rapidement l’incendie. Dans la foulée, d’autres véhicules d’intervention, une ambulance et une voiture du SAMU arrivent de la ville. L’intervention prend de l’ampleur ! Voici, donc, quelques photos prises au cours de cet exercice.

Hier matin, le North American B-25 Mitchell "Maid in the Shade" de la Commemorative Air Force (Arizona) a quitté l’aéroport de Saint-Hubert après avoir passé une semaine au FBO H-18. Étant bien occupé de ces jours-ci avec la rentrée des classes à l’ÉNA ainsi qu’avec un autre gros projet dont je devrais vous parler prochainement, je n’ai pas eu l’occasion de couvrir l’événement autant que je l’avais fait pour le Boeing B-29 Superfortress "Fifi" il y a un mois.

Toutefois, dimanche matin, j’ai été prendre quelques photos depuis l’ÉNA ainsi qu’en approche finale de la piste 06L alors que le B-25 effectuait un vol et, hier, j’ai été assister au départ de l’avion et de son équipage au FBO H18. Voici, donc, les photos prises à ces deux occasions.

L'auteur tient à remercier Annemarie, Daniel ainsi que tout le personnel du FBO H-18 et de l'AZCAF.

Nous poursuivons avec la lecture de bandes dessinées, cette fois-ci avec un trio d’albums de la série "Missions Kimono". Vous pourrez trouver leur critique en cliquant sur les liens ci-dessous :

Critiques des albums : Éternel retour (16) - Opération Pasni (17) - El "Chino" (18).

Blogue de Jean-Yves Brouard.

Information précédente au sujet de la bande dessinée.

Dans l’assemblée, lors de l’arrivée du North American B-25 Mitchell "Maid in the Shade" lundi dernier à l’aéroport de Saint-Hubert, se trouvait un pilote à la retraite dénommé Jean Gaudry. Lors d’une conversation qu’il entreprend avec Robert St-Pierre du Musée de l’aviation de Montréal et avec moi-même, nous apprenons qu’il a piloté à l’époque le DC-3 C-FDTD de Transports Canada. En effet, Jean a été pilote sur DC-3 durant 25 ans, nous dit-il. Nous lui proposons, donc, une rapide visite de l’avion appartenant maintenant à Avialogs. Qui sait, peut-être que d’ici quelques années, si le souhait des responsables de cette organisation de voir C-FDTD remis en état de navigabilité se réalise, Jean pourra de nouveau effectuer un vol à son bord !

28 mai 2018. Pour rejoindre Lausanne depuis Lauterbrunnen par des chemins bucoliques, j’ai prévu de passer par le petit aérodrome de Gruyères-Épagny où se situe, notamment, une base de Swiss Helicopter (ex-Heliswiss-Gruyère) où, dans le passé, j’ai eu l’occasion d’effectuer plusieurs reportages au sujet du Lama HB-XTD qui y était basé (il vole maintenant en Russie !)

Si les hélicos et le nom de la compagnie ont changé, je retrouve avec joie toute la sympathique équipe constituée de Nicolas, Gaby et Fabienne qui, elle, est immuable ! Du côté des hélicoptères, je photographie l’Airbus Helicopters EC120B Colibri HB-ZDS, qui décolle pour un vol d’entraînement, ainsi que le Guimbal Cabri G2 HB-ZDQ dans le hangar.

Puis nous allons prendre un verre au bar de l’aérodrome d’où je photographie encore le Piper PA28R-201T Arrow IV HB-PNT ainsi que le Robin DR.400/180R Remorqueur HB-KBK.

En chemin pour Gruyères, nous avons fait une brève halte à la base de Swiss Helicopter (ex-B.O.H.A.G.) à Zweisimmen où j’ai pu photographier l’Airbus Helicopters AS350B3 Écureuil HB-ZMC portant encore les anciennes couleurs de la compagnie. Et comme d’habitude, chaque fois que je passe à cet endroit, le Leonardo A109SP de la REGA n’y est pas … Par contre, je constate que l’on procède à un nouvel asphaltage de la piste de l’aérodrome.

20 juillet 2018. Hier, mon complice Édouard m’envoie une photo d’un avion plutôt rare prise au FBO Pascan à l’aéroport de Saint-Hubert : un Cessna T303 Crusader. Qui plus est, l’appareil photographié vient d’Allemagne, ce qui n’est pas courant non plus de ce bord de l’Atlantique. Ce matin, je me dois donc d’aller le voir avant son départ et, au moment où j’arrive au FBO, son équipage débarque d’un taxi à côté de l’avion. Les responsables de Pascan me laissent aller demander la permission de prendre des photos, ce que je fais dans mon meilleur allemand.

La réponse est positive et les trois Allemands sont bien surpris que quelqu’un parle (bafouille !) dans leur langue. La conversation, malgré tout, se poursuit en français et en anglais, car l’un des trois parle couramment la langue de Voltaire. Ils m’apprennent qu’ils se rendent à Oshkosh pour le célèbre "Air Venture" et qu’en chemin, ils ont fait escale à Saint-Hubert.

Partis de Schönhagen (EDAZ), au sud-ouest de Berlin, le dimanche 15 juillet 2018, ils ont d’abord rallié Wick (EGPC) au nord de l’Écosse avant d’effectuer la traversée à destination de Reykjavik (BIRK) en Islande. Le mardi 17 juillet et le mercredi 18 juillet 2018, ils ont poursuivi leur chemin de Reykjavik à Saint-Hubert avec des escales à Narsasuaq (BGBW) au Groenland et Goose Bay (CYYR) au Labrador. Et ce vendredi 20 juillet au matin, ils décollent de Saint-Hubert pour Niagara Falls (KIAG) dans l’état de New York. Le lendemain, ils aboutissent à Appleton (KATW) au Wisconsin, tout juste au nord d’Oshkosh où ils participent à "Air Venture".

Un des pilotes, Bjoern, résume son aventure : "Avec le recul, le voyage a été une expérience extraordinaire. D'abord la traversée de l’Atlantique, puis Oshkosh, oh mon dieu ! Bien sûr, j'ai déjà participé à des salons aéronautiques et professionnels dans le domaine de l'aviation, mais Ohskosh surpasse tout et n'a pas d’équivalent. Plus de 10.000 avions et plus de 600.000 visiteurs, wow ! Et en dépit de la taille de l'événement, c'est, pourrait-on dire, une rencontre familiale car, non seulement j'ai rencontré Dick Rutan et Phil Boyer, mais j'ai également partagé des histoires et des expériences avec les membres du Twin Cessna Flyer Group, ce qui fut une expérience enrichissante. Bref, quel voyage fantastique (…)!"

Le Cessna T303 Crusader D-IBIS a été construit en 1981 avec le numéro de série T303-00024. Il est opéré par IBIS Flugzeugcharter au départ de l’aérodrome de Schönhagen. Lorsqu'il a été vu à Saint-Hubert, il portait aussi le logo de l'application "ForeFlight". Wolfgang nous explique la raison du choix de cette immatriculation : "En Allemagne, l'indicatif d'appel des avions est structuré selon la classe et le poids de l'aéronef. La classe E est relative aux monomoteurs à pistons avec un MTOW inférieur à 2 tonnes, la classe G pour les multimoteurs à pistons avec un MTOW inférieur à 2 tonnes et la classe I pour les multimoteurs à pistons entre 2 tonnes et 5,7 tonnes. Lors de l'achat du 303, je cherchais un bon indicatif d'appel et j'ai essayé plusieurs options disponibles. Finalement, j'ai découvert que l’immatriculation D-IBIS était disponible. L'ibis est un oiseau saint en Égypte, mais vous pouvez trouver des ibis partout dans le monde entier. J'ai donc pensé que c’était parfaitement approprié pour un si bel avion, conçu pour voler dans le plus de régions possibles". Et, pour traverser l’Atlantique, son équipage n’a que des éloges à lui faire comme en témoigne Bjoern : "L’avion a été très performant et nous avons tous apprécié le doux fonctionnement des moteurs, sans la moindre déviation de leur régime établi durant tout le trajet. Et le T303 est vraiment spacieux, ce qui en fait un avion très confortable pour de longs voyages".

Si j’en juge par ma collection de photos, D-IBIS serait seulement le second Cessna Crusader que je photographierais dans ma vie. L’autre était aussi allemand; immatriculé D-IBUR, je l’avais vu à Berlin Schönefeld en 1991. J’ai numérisé la diapositive prise à cette occasion. Vous pouvez la voir ci-dessous, de même que les quelques autres Cessna Crusader de ma collection.

Un peu moins d’un mois après la venue du Boeing B-29 Superfortress "Fifi", voilà que la Commemorative Air Force débarque à nouveau au FBO H-18 situé à l’aéroport de Saint-Hubert, cette fois-ci avec le North American B-25 Mitchell "Maid in the Shade". Arrivé hier sur le coup de 10h00 locales, il repartira lundi prochain dans le cadre d'une tournée nord-américaine. Entre-temps, tout comme ce fut le cas pour "Fifi", le public sera invité à le visiter durant toute la semaine. Des vols sont également au programme pour ceux qui souhaitent se payer un moment inoubliable à bord de ce bombardier datant de 1944, dont seulement 34 subsistent à l’heure actuelle en état de vol.

Peu de temps après avoir atterri à Saint-Hubert, le B-25 a redécollé avec à son bord quelques privilégiés, dont Norman St. Aubin, un vétéran de la Seconde guerre mondiale maintenant âgé de 97 ans ! Actuellement, "Norm" est le dernier survivant de l’Escadron Pararescue de l’Aviation royale canadienne. À l’époque, il était technicien basé à Goose Bay à Terre-Neuve où il était en charge, notamment de B-25 Mitchell. C’est donc avec beaucoup d’émotion, on l’imagine, qu’il a embarqué hier à bord du "Maid in the Shade" pour un survol de la ville de Montréal.

L'auteur tient à remercier Annemarie, Daniel ainsi que tout le personnel du FBO H-18 et de l'AZCAF.

28 mai 2018. Même si notre parcours initial entre Lauterbrunnen et Lausanne ne doit pas passer par Meiringen, mon expérience de mes deux derniers voyages en Suisse me dit qu’y effectuer un détour peut s’avérer intéressant, surtout, tout juste avant l’heure du dîner ! Et aujourd’hui, c’est le cas également …

Alors que nous sommes encore sur la route de Lucerne près de Brienz vers 11h30, je note que le balisage de la piste de Meiringen est allumé, mais aussi que deux Boeing F/A-18C Hornet des Forces Aériennes Suisses sont en train de se poser. Le défi maintenant consiste à aller aussi vite en voiture que les deux jets et à se stationner à l’emplacement situé tout juste à côté de la route qui traverse l’aérodrome et de son passage à niveau !

Et j’arrive tout juste à temps ! Je sors mon appareil photo de mon sac (heureusement que j’ai toujours mon matériel prêt à fonctionner) et je photographie le premier des deux F/A-18C, l’appareil portant le code J-5011 et dont les deux dérives sont décorées par une tête de tigre, emblème de la 11ème escadrille. Il est suivi par l’appareil J-5002 portant la décoration réglementaire. En ce qui concerne le premier, je l’avais photographié au même endroit trois ans auparavant avec une autre décoration tigrée.

Alors que les deux jets roulent vers leur aire de stationnement située un peu plus loin à l’entrée d’une caverne leur servant d’abri, un Airbus Helicopters AS332M Super Puma (T-312) s’apprête à décoller. Et quelques instants plus tard, il passe devant nous, probablement à destination de la base d’Alpnach toute proche.

Les barrières de la route s’ouvrent et nous traversons l’aérodrome, histoire de photographier le Northrop F-5E Tiger J-3008 désormais installé sur un pylône tout juste à côté du restaurant de la base. Puis, comme il n’est pas encore midi, l’heure où tout ce qui est militaire s’arrête en Suisse, je retraverse l’aérodrome pour rejoindre le petit stationnement "stratégique" à côté du passage à niveau.

Tout en roulant, je note que le balisage est toujours allumé. C’est bon signe ! En effet, tout juste après avoir traversé, les barrières se ferment à nouveau et nous assistons à l’atterrissage du Pilatus PC-6 Turbo Porter V-619 qui s’en va rejoindre deux autres appareils du même type ainsi qu’un PC-7 sur l’aire de stationnement.

Les barrières s’ouvrent, le balisage de la piste s’éteint et le camion jaune servant de tour de contrôle mobile retourne vers les installations de l’aérodrome. C’est clair : plus rien ne bougera durant la prochaine heure. Pour notre part, nous reprenons la route, plutôt satisfaits de ce détour !

29 juillet 2018. Peu avant 09h00, je vais chercher mon ami et complice Édouard pour ce qui va être une mini virée de spotters-photographes dans la Lanaudière au nord-est de Montréal. Aussi incroyable que cela puisse être, cela fait maintenant vingt ans que je réside près de Montréal et il existe encore des régions limitrophes que je n’ai pas encore exploitées aéronautiquement-parlant ! Notre parcours du jour nous mènera donc essentiellement dans les environs de Joliette et de Saint-Esprit.

Notre première étape a lieu au site de l’École de parachute Voltige 2001, dont l’acteur Guillaume-Lemay Thivierge est l’un des partenaires. Deux avions sont utilisés par cette école : le De Havilland Canada DHC-6-200 Twin Otter N137JR (MSN 176) à nez court (il volait avant avec des flotteurs) ainsi que le Cessna 208B Grand Caravan N9454B (MSN 208B-0072). Par ces coïncidences que seul le monde du spotting peut nous réserver, j’avais photographié ce dernier il y a exactement 30 ans à Bruxelles-National en Belgique ! Il était alors en version "Super Cargomaster"!

Lors de notre visite en ce dimanche-matin, le Twin Otter tourne à plein rendement. Le préposé à l’embarquement des parachutistes nous accueille très gentiment et nous organisons avec lui nos prises de vues des deux avions. Le site, situé à Notre-Dame-de-Lourdes près de Joliette, est aussi assez intéressant car situé au bout d’un bois dans une zone plutôt sablonneuse qui me rappelle un peu la Campine en Belgique.

Nous poursuivons, maintenant, notre route plus au nord, vers le lac Cloutier où une hydrobase (CTC2) est renseignée. Effectivement, en arrivant sur les lieux, nous pouvons observer quelques hydravions, mais de là à les photographier, c’est une autre paire de manches ! En effet, toutes les berges sont des propriétés privées et il n’existe donc pas d’accès public. Il faudra donc se contenter de photos prises au téléobjectif depuis le chemin Laforest entre les arbres et autres obstacles. Qui plus est, la majorité des vues se trouve être à contre-jour ! Ce n’est donc pas le meilleur endroit pour photographier des hydravions que je connaisse au Québec.

Nous reprenons la route vers le sud, cette fois-ci, à destination de l’aéroport de Joliette. Je suis tout de suite impressionné par le nombre de hangars construits le long de la piste. Ceux-ci sont assez semblables à ceux que l’on trouve à Saint-Mathieu-de-Beloeil près de chez nous, mais avec beaucoup moins d’espace autour de chacun d’eux. C’est là qu’Édouard et moi prenons une pause pour déguster notre pique-nique avant de repartir "à la chasse".

Assez bien d’avions sont stationnés à l’extérieur, mais il n’y a pas vraiment d’appareil sortant de l’ordinaire. Tout au plus, le Piper PA28-140 Cherokee C-FWHI se distingue par sa pseudo-décoration militaire allemande dont les croix noires sont difficilement manquables ! Assez curieusement, je ne compte aussi pas moins de trois Piper PA30-160 Twin Comanche (C-FXHY, C-GOJD et C-GVEH) de même que plusieurs anciens Cessna 150 (C-FJTZ, C-GARF et C-GCQJ).

La majorité des avions peut être photographiée en restant dans les limites publiques, ce qui nous convient. Avant de partir, nous prenons encore quelques vues du Cessna 150A C-GVOX muni d’un train classique ainsi que d’énormes pneus "toundra" à basse pression.

Puis, cap à l’ouest vers Saint-Esprit où se trouve le centre Parachute Montréal. Là, c’est le De Havilland Canada DHC-6-200 Twin Otter N301CL (MSN 221, avec un long nez) qui effectue aujourd’hui les rotations de largage des parachutistes. Édouard et moi assistons à deux départs (les vols 9 et 10 du jour, en fait) avant de regagner Longueuil, très satisfaits de notre journée.

26 mai 2018. En revenant d’excursion dans la région de Lauterbrunnen avec Louise, nous effectuons un arrêt à l’héliport d’Air Glaciers où j’ai déjà eu l’occasion de voler à plusieurs reprises. Me voyant regarder les hélicoptères avec intérêt, un technicien occupé à effectuer une inspection pré-vol sur un Écureuil m’invite spontanément à venir les voir de plus proche.

Deux Écureuil sont actuellement basés à Lauterbrunnen : l’AS350B3 HB-ZUT et l’AS350B3e HB-ZNR. Bien entendu, il y a aussi l’EC135T1 HB-ZRK dédié au sauvetage dans la région qui fera un bref passage à l’héliport lors de notre présence, le temps d’effectuer un avitaillement en carburant moteurs tournant avant de redécoller. Voici donc quelques photos prises à Lauterbrunnen :

Top Aces cherche actuellement à embaucher, notamment, des techniciens d’entretien d’aéronefs pour travailler sur ses avions qui, vous en conviendrez, ne sont pas très habituels. En effet, il s’agit essentiellement d’anciens appareils militaires de type Dornier-Dassault Alpha Jet "A" et Douglas A-4N Skyhawk. Top Aces utilise aussi deux jets d’affaires IAI-1124 Westwind ainsi qu’un Canadair CL601 Challenger et un LearJet 35A. Alors, si un emploi sur des jets militaires sans avoir à porter l’uniforme vous intéresse, la compagnie organise ce mardi 7 août 2018 une journée carrière à ses installations de Bagotville au Saguenay. Vous pourrez en savoir plus au sujet des postes disponibles en cliquant ici.

25 mai 2018. Certains suivent peut-être l’émission "REGA 1414, les secours arrivent" (diffusée sur TV5 au Canada) et se rappellent que beaucoup d’interventions par hélicoptères partent de la base de Wilderswil près d’Interlaken en Suisse. Cet après-midi, en passant sur la route principale traversant le village, j’aperçois au loin pas moins de trois hélicoptères de la REGA.

Bien entendu, je me dois d’aller voir ça de plus près et je note la présence de l’Airbus Helicopters (ex-Eurocopter !) AS350B3e Écureuil HB-ZRJ, du Leonardo (ex-Agusta Westland !) AW109SP HB-ZRP ainsi que de l’Airbus Helicopters EC145 HB-ZRB. Peu de temps après mon arrivée, ce dernier décolle ce qui me permet de prendre quelques bonnes vues.

Je m’apprête à repartir lorsque je remarque qu’un second AW109SP est sorti du hangar : il s’agit de l’appareil immatriculé HB-ZRT dont Wilderswil est la base. Peu de temps après, il décolle à son tour. J’imagine que ZRT part en maintenance à la base principale de la REGA à Zürich et est échangé avec ZRP qui est un appareil de réserve. J’ai donc beaucoup de chance de pouvoir assister à ces deux départs en très peu de temps. Être là au bon endroit au bon moment … Toute la difficulté du spotting !

Juillet a été assez actif et varié à l'aéroport de Saint-Hubert tant avec des avions visiteurs qu’avec de nouveaux aéronefs "locaux", notamment chez Chrono Aviation dont la flotte comprend maintenant, selon le relevé de Transports Canada, huit Pilatus PC-12, deux Beechcraft 1900D, un Beechcraft 350, un Boeing 737-219C (que l’on n’a pas encore vu), un De Havilland Canada Dash 8 et un Dassault Falcon 50. Voici, donc, la sélection du mois suivie de quelques vues du chantier actuellement en cours sur la route de l’aéroport qui est en réfection au coût annoncé de 15 millions de dollars. Selon certaines sources, il semblerait que l’on soit pris avec cette réplique de Verdun jusqu’en novembre …

Voilà un certain temps que je ne vous plus parlé du DC-3 C-FDTD d’Avialogs, et pour cause : il y a du changement en ce qui le concerne. En effet, le président de l’organisation souhaite maintenant le remettre en état de vol, ce qui va nécessiter de plus gros moyens et une nouvelle structure à l’organisation. Or, cette dernière avait aussi dans ses cartons un projet de musée à établir à l’aéroport de Saint-Hubert où le DC-3 aurait été le premier aéronef de la collection. De manière réaliste, il n’est pas possible de mener conjointement un projet de remise en état de navigabilité d’un DC-3 et un autre visant à la création d’un musée. Il a donc été décidé de fonder un nouvel organisme sans but lucratif spécifiquement pour le projet de musée, tandis qu’Avialogs prendra en charge la restauration de C-FDTD tout en continuant à proposer la consultation de documentation technique en ligne. Les deux organisations devraient coopérer et collaborer, car étant issues de la même origine.

Pour ma part, étant très attaché à la sauvegarde du patrimoine aéronautique local, j’ai plutôt choisi de prendre une part active à la création du musée à Saint-Hubert et de laisser le soin à d’autres de s’occuper de l’ambitieux projet d’Avialogs. J’espère pouvoir vous donner d’autres nouvelles d’ici quelques semaines, notamment au sujet du premier avion qui sera acquis pour le musée. En attendant, je vous propose quelques photos de l’intérieur du DC-3 C-FDTD qui a été nettoyé préalablement à la visite du Boeing B-29 Superfortress "Fifi" (dont je vous ai abondamment parlé ici même !), car, en plus du bombardier, les visiteurs pouvaient également découvrir l’intérieur du DC-3.

Régulièrement, je m’arrête chez Helicraft et HelicoStore lors de mes tournées de l’aéroport de Saint-Hubert, car il s’agit d’un endroit où il se passe beaucoup de choses. En effet, on peut souvent y voir de nouveaux Robinson en plus de mouvements plus habituels d’hélicoptères. Il faut dire que les responsables des ces compagnies, outre le fait d’être sympathiques et accueillants, sont aussi très dynamiques. Samedi dernier, par exemple, le bâtiment était bondé de gens attendant pour un baptême de l’air tandis que le long du grillage de l’héliport, des familles s’arrêtaient pour regarder les décollages et les atterrissages des hélicoptères. Voici donc, pour le plaisir, une nouvelle séquence de photos Helicraft/HelicoStore :

Pour rester dans le domaine des voilures tournantes, de l’autre côté de l’aéroport, j’ai photographié hier le décollage du Leonardo (ex-Agusta Westland) AW109SP C-GVAM d’Airmedic depuis les installations de la compagnie.

25 mai 2018. Après avoir mis la voiture sur le train pour passer le tunnel du Lötschberg entre Goppenstein et Kandersteg en Suisse, nous poursuivons notre route vers le lac de Thoune et Interlaken. En chemin, nous nous arrêtons pour prendre une pause à l’aérodrome de Reichenbach im Kandertal (LSGR) où se déroule des largages de parachutistes avec le Cessna 208 Caravan HB-TCK (MSN 208-0416) d’Air Sarina, mais portant les couleurs de Scenic Air/Skydive Switzerland. Particularité : celui-ci est équipé d’une hélice à cinq pales beaucoup moins bruyante que celle d’origine à trois pales. Voici donc quelques photos prises à Reichenbach :

Alors que le Boeing B-29 Superfortress "Fifi" poursuit sa tournée au Canada à Gatineau, QC, Peterborough, ON, North Bay, ON, Kitchener, ON, London, ON, Windsor, ON et Hamilton, ON, revenons un peu sur la semaine passée ici au FBO H-18 à l’aéroport de Saint-Hubert du 16 au 23 juillet dernier. En effet, beaucoup de photos ont été prises à cette occasion et je voudrais encore en partager quelques unes avec vous parmi les plus significatives. Si vous souhaitez voir toutes les photos, cliquez sur le lien ci-dessous. Vous ne trouverez pas moins de 170 images œuvres de mon ami Édouard Painchaud et de moi-même. Pour information, au cours des cinq journées ouvertes au public, ce ne sont pas moins de 3000 visiteurs qui sont venus voir "Fifi", un succès qui souvent, même aux États-Unis, n’est pas atteint. Par ailleurs, sous le poids de la demande, plusieurs vols ont été ajoutés à ceux initialement prévus. Serait-ce la preuve qu’il manque cruellement d’activités aéronautiques pour le grand public à Montréal ? Poser la question, c’est un peu y répondre …

Toutes les photos de "Fifi" à Saint-Hubert.

L’auteur tient à remercier Annemarie, Don, Michel, ainsi que l’équipage de "Fifi" et le personnel du FBO H-18 pour leur aimable collaboration.

C’est grâce à de courageux pilotes Anglais, rejoints au sein de la Royal Air Force par d’autres aviateurs alliés, qu’en 1940, l’Angleterre a tenu bon devant l’envahisseur nazi. Cette bataille aérienne donna lieu à la réalisation de ce film exceptionnel comme je le relate à la rubrique cinématographique de ce blogue. Je vous suggère également de regarder la séquence vidéo ci-dessous au sujet de la réalisation de ce film "La Bataille d’Angleterre" qui fut loin d’être une partie gagnée d’avance pour les réalisateurs.

Critique du film.

23 mai 2018. Dans un voyage, il peut y avoir des imprévus … Et aujourd’hui, il s’agit d’un imprévu que je n’aurais plus imaginé possible : voler à bord d’un Lama ! En effet, depuis que cette "race" d’hélicoptères est en voie d’extinction, il devient très rare de pouvoir en voir encore voler. Alors, imaginez, embarquer à bord de l’un d’entre eux !

Et pourtant … Mon ami Hans à Zermatt m’a mis en contact avec Marco et Roberto, deux anciens d’Air Walser, une compagnie italienne à propos de laquelle j’avais effectué des reportages en 2011 et 2012 et qui, malheureusement, a fait faillite en 2016. Actuellement, Marco et Roberto travaillent pour Star Work Sky qui dispose d’une petite base dans une zone industrielle située au nord-ouest de Vogogna. De là, ils opèrent le Lama I-SERY (No. 2603).

Ce matin, la première étape se situe sur les hauteurs de Masera, le petit village où j’ai l’habitude de résider dans le Val d’Ossola (voir blogue "Découverte"). Il s’agit de descendre en contre-bas quelques sacs de matériaux d’une maison située en altitude et dont l’accès est impossible pour un camion. L’affaire est rondement menée, puis nous nous rendons à Iselle le long de la route menant au col du Simplon où nous abandonnons le Lama sur un terrain plat le temps d’un repas dans un petit restaurant situé pratiquement en face du poste frontière italien.

Dans l’après-midi, je pars avec le camion d’avitaillement et de soutien de Star Work Sky vers une impressionnante carrière située tout juste à la frontière avec la Suisse. Quelques minutes plus tard, le Lama piloté par Roberto arrive et transporte quelques charges sur une petite vire où se trouvent quelques ouvriers de la carrière. Une fois le travail terminé et l’élingue rangée dans le panier situé sur le côté de l’hélicoptère, j’embarque à bord et nous décollons à destination de Vogogna.

La météo consistant en un mélange de pluie, de soleil et de nuages, le vol est spectaculaire d’autant plus que la visibilité du Lama reste inégalée. Nous franchissons avec aisance quelques sommets avant de plonger dans la vallée vers Vogogna. Une fois posés, j’aide Roberto à rentrer l’hélicoptère dans le hangar. Marco et Étienne, l’assistant de vol, arrivent entre-temps avec le camion. Puis vient le moment de nous séparer. Nous reverrons-nous un jour dans le cadre d’un autre reportage au sujet du Lama ? La probabilité est malheureusement très faible, mais ne sait-on jamais …

L’auteur tient à remercier Hans Zurniwen, Marco Montagna, Roberto Sala et Étienne pour cette belle journée un tantinet nostalgique.

Aujourd’hui, je vous propose de découvrir le Boeing B-29 Superfortress "Fifi" de la Commemorative Air Force de l’intérieur, en allant de l’avant vers l’arrière. Pour identifier les principaux composants visibles sur les photos, je vous suggère d’ouvrir cette page et de cliquer sur les images des différentes sections du bombardier.

L’auteur tient à remercier Don, Michel, ainsi que l’équipage de « Fifi » pour leur aimable collaboration.

Fréquentant l’aéroport de Bruxelles en tant que passager et comme passionné d’aviation depuis que je suis gamin, ce livre, œuvre de Frans Van Humbeek, est un réel monument de nostalgie. Même s’il date de 2002 et qu’il est actuellement épuisé, il n’en demeure pas moins une référence incontournable de l’histoire des aéroports d’Haren, Melsbroek et Zaventem. Il y aurait des rumeurs, toutefois, que l’auteur préparerait une nouvelle édition mise à jour. Je ne peux, évidemment, qu’encourager Frans en ce sens ! En attendant, je vous propose ma critique de ce bel ouvrage à la rubrique "bibliographie" :

Critique du livre.

19 mai 2018. Pour célébrer en grand son 50ème anniversaire, la société d’hélicoptères valaisanne Air Zermatt conviait le grand public à sa base de Rarogne (Raron) durant le week-end des 19 et 20 mai 2018. Tout était organisé "à la Suisse", c’est à dire impeccablement. Il y en avait pour tous les goûts : simulateur de vol, jeux pour enfants, exercices d’équilibre, modèles radiocommandés, kiosques de commanditaires ainsi que plusieurs tentes où il était possible de se nourrir (généreusement !) et de boire un coup.

Pour l’amateur d’hélicoptère, bien évidemment, toute la flotte d’Air Zermatt au grand complet était présente. Tous les appareils étaient visibles et seuls l’EC135T3 HB-ZEF et le nouvel AS350B3e HB-ZOY n’ont pas volé (le samedi, en tout cas). En ce qui concerne ce dernier, il avait été acheté quelques jours plus tôt suite à l’accident de l’AS350B3 HB-ZKF le mercredi 16 mai 2018 non loin de Rarogne au cours d’un vol d’entraînement avec un Bambi Bucket. Fort heureusement, celui s’est terminé uniquement avec des dégâts matériels, soit la perte totale de la machine. C’est la raison pour laquelle ZOY était présenté en couleur "primer" avec de petits autocollants d’Air Zermatt.

Dans un des hangars, le prototype No. 02 HB-ZXB du Kopter (ex-Marenco) SKYe SH09 était également présenté. Il faut dire qu’Air Zermatt est un des clients de lancement de ce nouvel hélicoptère de conception suisse. C’est, par contre, dommage que ce prototype n’ait pas effectué une démonstration en vol.

Du côté d’Air Zermatt, outre l’AS350B3e HB-ZOY déjà évoqué, l’autre nouvel appareil présenté était le Bell 429 HB-ZOZ récemment sorti des chaînes de production de Mirabel. Il vient ainsi rejoindre le HB-ZSU, prouvant ainsi l’efficacité pour le travail en montagne et la polyvalence de cet hélicoptère bimoteur. J’ai aussi pu voir l’EC130T2 HB-ZAZ en opération pour la première fois, même si je l’avais déjà vu quelques jours après sa livraison alors qu’il était encore tout rouge sans les marques distinctives d’Air Zermatt en 2015.

En ce qui concerne les démonstrations en vol, trois hélicoptères d’Air Zermatt ont présenté un échantillon de la multitude des travaux effectués par les appareils de la compagnie. Tout d’abord, c’est le vénérable SA315B Lama HB-XII, un des derniers appareils de ce type volant encore en Suisse, qui, après avoir réalisé quelques figures en vol, a effectué deux largages d’eau à l’aide d’un seau rigide basculant. Dans la matinée, ce même Lama avait amené un des fondateurs et président d’Air Zermatt, Beat H. Perren, ainsi que son épouse, à l’événement. Sachant que le Lama représente 47 des 50 ans de l’histoire de la compagnie, il s’agissait de tout un symbole !

Puis ce fut l’AS350B3 HB-ZPB qui effectua une démonstration d’épandage de granules pour la protection des forêts. Et enfin, le Bell 429 HB-ZSU effectua une démonstration d’extinction de feux de forêts à l’aide d’un Bambi Bucket (donc un ensemble entièrement canadien !), puis un exercice de treuillage d’un blessé dans le sac-cocon. Trois ans auparavant, j’étais installé dans un sac comme celui-là pour un treuillage effectué au Rothorn avec ce même hélicoptère dans le cadre de la réalisation de cet article. Un bon souvenir, donc !

Trois autres démonstrations ont également eu lieu. Tout d’abord, celle de l’AS332M1 Super Puma T-320 "démo" des Forces Aériennes Suisses qui s’est déroulée une fois le matin et une fois en après-midi. C’est toujours impressionnant de voir cette "grosse bestiole" effectuer des manœuvres spectaculaires avec tant d’aisance !

Également à deux reprises, nous avons pu voir la prestation acrobatique de Nicolas Ivanoff avec son Extra 330LC D-EZIG aux couleurs de l’horloger Hamilton, un des commanditaires des hélicoptères d’Air Zermatt. Malheureusement, la présentation se déroulait très haut pour d’évidentes mesures de sécurité et, à moins de disposer de jumelles ou d’un puissant téléobjectif, il était très difficile d’apprécier la prestation du pilote corse. Je trouve aussi que celle-ci ne devait être "trippante" que pour le pilote. En effet, mis à part une superbe figure en forme de cœur admirablement exécutée, il n’y en avait aucune autre plus classique, comme une série de loopings en cascade ou un huit cubain, qui aurait eu le mérite d’occuper visuellement l’espace de démonstration. En fait, on a juste eu droit à un avion qui se tortillait haut et loin dans le ciel. C’est un peu dommage.

Enfin, la troisième fut celle du Bo-105CB-4 D-HTDM de Red Bull piloté par Siegfried Schwarz. Elle eut lieu en fin d’après-midi. C’est surtout elle que je tenais à voir à Rarogne aujourd’hui et je dois dire que je n’ai pas été déçu ! Les manœuvres exécutées sont absolument époustouflantes et difficilement imaginables avec un hélicoptère. C’est d’ailleurs, la marque, de commerce de l’équipe de voltige des Flying Bulls. Plusieurs réflexions me sont venues à l’esprit … Embarquerais-je à bord de ce Bo-105 pour vivre une telle expérience ? Honnêtement, je serais très mal à l’aise ! D’autre part, la conception de cet hélicoptère et de son rotor rigide remonte à la fin des années 1960 et c’est le seul, mis-à-part, peut-être, le Mil Mi-34 russe, qui, à l’heure actuelle, est capable d’exécuter autant de figures inédites. Enfin, alors que l’on a l’habitude de voir les pilotes d’acrobatie habillés de combinaisons de vol colorées et bardées des logos de leurs commanditaires, Siegfried Schwarz, lui, se promène en jeans simplement vêtu d’un polo portant un petit logo Red Bull. Rien d’ostentatoire, donc, pour ce pilote exceptionnel !

C’est après la démonstration du Bo-105 que j’ai quitté Rarogne avec l’autobus navette vers la gare de Visp (3 CHF) d’où je reprends le train vers Zermatt (37 CHF et même pas en première classe !) Si j’ai, dans l’ensemble, été satisfait de ma journée, surtout pour avoir revu des amis du Tessin, d’Aoste et d’Allemagne ainsi que Bernd van Doornick, avec qui j’ai maintenant l’habitude d’effectuer les vues aériennes du RVA de Casey, je dois dire que j’ai été un peu déçu par le fait qu’il n’y avait pas d’hélicoptères visiteurs comme ce fut le cas en 2015 à Lauterbrunnen pour les 50 ans d’Air Glaciers. Mais, dans tous les cas, on ne peut que féliciter les responsables ainsi que tous les membres du personnel et les bénévoles d’Air Zermatt pour cette organisation sans faille qui a accueilli environ 15.000 personnes tout au long de ce week-end.

L’auteur tient à remercier Hans Zurniwen pour sa collaboration.