Voici une autre activité pour nos amis belges …

Site du SABENA Aeroclub.

Depuis une petite quinzaine d’années, l’Alouette II G95 qui fut, autrefois, l’un des six hélicoptères de ce type utilisés par la Gendarmerie belge, était suspendue au plafond du garage de la société Wim Robberechts & Co. située à Diegem, près de Bruxelles. L'an dernier, son propriétaire a décidé d’en faire don à la section d’Aviation Légère (LtAvn) du Musée Gunfire à Brasschaat où était située la base de cette Alouette durant de nombreuses années. C’est ce samedi 29 août 2015 que l’appareil devrait être transporté vers sa nouvelle destination.

Photos de l'Alouette II G95 à Diegem.

Historique de l'Alouette II G95.

Information précédente au sujet de la section LtAvn du Musée Gunfire.

Information précédente au sujet des Alouette.

Merci à Walter Vlerick.

Ce matin, sur le coup de 09h30, avant d’entrer en classe, j’ai été photographier le décollage du Beechcraft Super King 350 N836UP de la compagnie Wheels-Up Partners. Mais finalement, en l’espace de quelques minutes, ce ne seront pas moins de trois appareils de la famille King Air que je photographierai. En effet, en plus de notre King Air A90 C-FUFW, j’ai aussi assisté à l’atterrissage du King Air C90A C-FGXH de Transports Canada.

Photos : King Air C-FUFW - Avions d'affaires US - Transports Canada.

Disposant d’une pause entre deux cours d’avionique de 11h50 à 13h10 à l’ÉNA, j’avais noté sur Flight Aware le départ d’un IAI Gulfstream 280 (N280GC) à 12h00. Prévoyant (!), j’avais apporté mon appareil photo avec moi en classe pour monter immédiatement à la tour de contrôle située sur le toit de l’école une fois le cours terminé. Arrivé en haut, j’observe, effectivement le Gulfstream qui s’apprête à décoller sur la piste 06 gauche. Simultanément, l’Agusta Westland A109SP d’Airmedic (C-GVAM) se présente en finale et vient ensuite effectuer quelques manœuvres d’entraînement juste en face de moi. En quelques minutes, je prends donc une cinquantaine de clichés de ces deux aéronefs, même si, à ce moment, je suis à contre-jour. Satisfait de cette opération fort "rentable", je redescends ensuite à mon bureau pour prendre mon lunch avant de débuter mon cours de l’après-midi.

Photos : Airmedic - Avions d'affaires US.

Étant arrivé assez tôt à l’ÉNA ce matin, la lumière étant particulièrement intéressante, je n’ai pas manqué l’occasion de reprendre encore quelques vues de notre Beech 18 montant fièrement la garde à l’entrée du stationnement.

Photos du Beechcraft CF-ZWY-X.

Hier, je devais être quelque peu en manque d’images d’actions aéronautiques car j’ai regardé le DVD du film The Final Countdown. Comme je l’explique dans ma critique, il s’agit d’un film que l’on acquière principalement pour ses belles vues d’aéronefs de la U.S. Navy opérant à bord du porte-avions nucléaire CVN68 USS Nimitz. Celui-ci, lancé le 13 mai 1972 et inauguré le 3 mai 1975, a ensuite été modernisé entre 1997 et 2001. Il fait partie encore aujourd’hui de la flotte des dix porte-avions opérationnels de la marine américaine, bien qu’en étant le plus ancien. Son port d’attache actuel est San Diego en Californie.

Critique du film.

Site officiel du USS Nimitz.

Ces derniers mois, ceux qui visitent régulièrement mon site "Alouette & Lama" ont très certainement constaté que je l’avais quelque peu "abandonné" du fait de mes nombreux voyages et autres activités réalisés depuis le début de l’année … Qu’ils se rassurent, je devrais de nouveau effectuer des mises à jour régulières au rythme d’environ une par semaine. Et pour commencer, voici, ci-dessous, quelques photos ajoutées à la galerie aujourd’hui.

Toutes les mises à jour du site "Alouette & Lama".

Toutes les photos d'Alouette et de Lama.

À la veille de la rentrée scolaire du 24 août prochain, à l’École nationale d’aérotechnique, on termine d’effectuer quelques travaux et de nettoyer les hangars. De ce fait, plusieurs avions se trouvent à l’extérieur de ces jours-ci. Et vu qu’ils ne prennent pas l’air très souvent, c’est l’occasion de les photographier au grand jour.

Toutes les photos de l'ÉNA.

Par ailleurs, la remise en état du Diamond DA.20 Katana progresse en vue de sa prochaine installation en monument à la nouvelle entrée du stationnement de l’école. L’épave de cet avion est restée entreposée durant très longtemps à l’extérieur.

Toutes les photos du Katana de l'ÉNA.

Enfin, pour ce que l’on appelle communément "le discours de la rentrée" du directeur général du CÉGEP Édouard-Montpetit qui se déroulera demain à l’ÉNA, le Beech 18 a été placé fièrement à l’entrée du stationnement ce matin.

Toutes les photos du Beech 18 de l'ÉNA.

20 juin 2015. D’ordinaire, aux tombolas et autres tirages au sort, je ne gagne jamais rien. Mais, pour cette édition 2015 du Spectacle aérien international de Bagotville (SAIB), je suis l’un des trois heureux membres des médias à être sélectionné pour accompagner l’équipe de parachutistes militaire canadienne des Skyhawks à bord du Lockheed CC-130H-30 Hercules 130344 de l’Escadron 413 de Greenwood, NE. Je vous raconte ce très beau vol dans un nouvel article que vous pouvez consulter en cliquant sur le lien ci-après. Ne manquez pas non plus les photos prises à cette occasion.

Article (PDF 5,27 Mo).

Photos du vol en Hercules.

Information précédente au sujet du Spectacle aérien de Bagotville.

Voici une excellente vidéo qui montre très bien tous les aspects d’une opération de pose de deux éléments d’un mât de 50 mètres pesant au total 25,9 tonnes au sommet de la tour Incity à Lyon en France. Ce levage impressionnant en pleine ville s’est déroulé le 21 juin dernier. Il est intéressant de voir la technique utilisée pour placer ces deux charges avec précision. L’hélicoptère est L’Airbus Helicopters (Eurocopter) AS332C1 Super Puma HB-ZKN de la compagnie suisse Heli TV basée à Lodrino et opéré pour le compte de SAF International.

Pour nos amis belges …

Il est courant, un peu partout dans le monde, de préserver des aéronefs afin de les exposer en monuments, par exemple à l’entrée de bases militaires ou de sites aéronautiques. Je vous en ai, d’ailleurs, déjà présenté plusieurs d’entre eux sur ce blogue. Mais voici qu’un Français passionné a établi un inventaire complet de tous ces monuments, appelés "pots de fleurs" dans le jargon local, que l’on peut trouver en France. De quoi s’établir un bel itinéraire lors de prochaines vacances dans ce beau pays !

Site "Pots de Fleurs Aéronautiques".

Photos d'avions en monuments.

27 juillet 2015. Mon retour des États-Unis vers Montréal s’est déroulé comme l’aller : longuement ! Comme je l’ai mentionné précédemment, le service à bord, que ce soit avec Air Canada ou Jazz/Air Canada Express, est tout à fait correct, avec toutefois un petit plus pour cette dernière. Mais, par contre, je trouve que l’accueil à bord laisse à désirer lors de l’embarquement que ce soit avec l’une ou l’autre de ces compagnies. Il s’agit peut-être d’un infime détail qui n’a pas beaucoup d’importance pour bon nombre de passagers, mais je trouve qu’il dénote malgré tout un certain manque de respect pour le client qui a dû bourse délier pour voyager (ce qui est d’autant plus vrai en Amérique du Nord où les billets d’avions sont deux à trois fois plus chers qu’en Asie ou en Europe). Il s’agit du fait que les ceintures des sièges ne soient pas placées en croix et que les accoudoirs se trouvent dans la position telle que les passagers ayant quitté l’avion les ont laissés. Ça fait un peu foutoir, disons-le. On pourrait, à la limite, l’accepter pour une compagnie à faible coût, mais pas de la part d’Air Canada. Mais comme il ne faut pas être que négatif, je tiens à souligner les améliorations entreprises par la compagnie pour être servi dans les deux langues. Même si pour certains employés, parler français est loin d’être évident, ils font l’effort malgré tout de communiquer dans la langue de Voltaire. Mais en ce qui concerne le personnel d’Air Canada à Baltimore, c’était, par contre, un grand zéro pour ce point. À Toronto-Pearson, un effort minimaliste est également entrepris; les employés de l’aéroport vous adressent désormais toujours la parole en débutant par "Hello, bonjour". Mais, dans la toute grande majorité des cas, il s’agira du seul mot de vocabulaire français qu’ils seront capables de vous dire, mais c’est mieux que rien.

Information précédente à ce sujet.

26 juillet 2015. Décidément, la région de Baltimore-Washington regorge de musées! Celui-ci est établi à l’aéroport de College Park au Maryland, un des plus anciens en activité aux États-Unis, rien de moins. En effet, il a été l’une des premières bases militaires opérationnelles ainsi qu’un maillon important du début du courrier aérien au pays de l’Oncle Sam. Enfin, c’est là que s’est déroulé le premier vol de l’Ercoupe, cet avion de tourisme un peu particulier avec ses deux dérives et l’absence de palonniers construit par Erco, à l’origine un fabricant de machines et d’outillage pour l’aéronautique. Il était donc normal qu’un musée rappelant ce riche passé aéronautique y soit implanté. Celui-ci n’est pas très grand, mais on y trouve quelques aéronefs intéressants dont l’hélicoptère Berliner No. 5 datant de 1924 et dont le concepteur était aussi connu pour ses gramophones et qui poursuivra dans l’aéronautique en fondant Erco. Il s’agit d’une pièce unique au monde qui vaut, à elle seule, le déplacement. Parmi les autres avions intéressants, il y a deux Taylocraft, un modèle BL-65 et un J-2, deux appareils qui ont été à l’origine de la conception des familles des Auster ainsi que des Piper Cub. Mais il y a aussi un Monocoupe 110, une réplique d’un Blériot XI et un Boeing A75N1 Stearman qui a été utilisé pour rejoindre le Pôle Nord en avril 2000, une première pour un avion à cockpit ouvert. Bien entendu, on peut noter également l’incontournable Curtiss JN-4D Jenny et l’Ercoupe dont un exemplaire est présenté en entier et l’autre découpé afin de pouvoir découvrir son intérieur si particulier. Enfin, on peut aussi admirer les répliques d’un Wright Model B ainsi que d’un Curtiss Model D, un des premiers appareils militaires américains.

Toutes les photos prises au Musée de l'aviation de College Park.

25 juillet 2015. Habituellement, dans une majorité de musées dédiés à l’aviation, le manque de place ne permet pas la présence de gros avions. À l’Air Mobility Command Museum à Dover au Delaware, c’est tout le contraire : il n’y a, pratiquement, que des gros avions, et pas les plus inintéressants ! En effet, Dover AFB, dont l’histoire remonte à la Seconde guerre mondiale, est devenue au fil du temps l’une des plus importantes bases militaires de transport et de ravitaillement en carburant en vol de la U.S. Air Force. Il était donc normal d’y implanter un musée présentant les principaux avions de transport militaires américains. Celui-ci se situe au sud-est de la base et est facilement visible depuis l’autoroute #1.

Parmi les avions les plus rares, je citerais le Douglas C-133B Cargomaster (59-0536), mais il y a aussi un Douglas C-124A Globemaster II (49-0258) et un McDonnell Douglas VC-9C (73-1682) ayant servi à transporter les vice-présidents des États-Unis. À noter aussi deux planeurs militaires de la Seconde guerre mondiale qui sont des pièces quasi uniques au monde : un Laister-Kauffman TG-4A (42-5378) et un Waco CG-4A (45-15009). Du côté des géants, il y a un Lockheed C-5A Galaxy (69-0014) ainsi que les deux variantes du Lockheed C-141 Starlifter (61-2775 et 64-0626).

La majorité des appareils exposés se trouve à l’extérieur et l’espace entre chacun d’entre eux est suffisant pour prendre de bonnes photos sans à avoir à recourir systématiquement à un super grand angulaire. Par ailleurs, plusieurs avions sont visitables en permanence ou selon la disponibilité des bénévoles présents. Lorsque l’on est sur le tablier à certains endroits, on pourrait se croire dans l’exposition statique d’un spectacle aérien des années 1950 ou 1960 ! Sensation extraordinaire d’un retour en arrière pour le passionné d’aviation.

Pour ma part, j’ai vraiment beaucoup apprécié ma visite à ce musée "hors normes" qui m’a été suggérée par un de mes voisins. Surtout, si un jour vous visitez la région de Baltimore et de Washington, n’hésitez pas à vous organiser un détour par Dover AFB. Au passage, vous pourriez aussi faire une escale touristique à Annapolis. Vous trouverez toutes les photos prises à l’Air Mobility Command Museum en cliquant sur le lien ci–après :

Photos du musée de l'Air Mobility Command.

Sur un tablier jouxtant celui du musée, il est possible de voir des Dassault Falcon 20 de Kalitta Charters. Lors de ma visite, les appareils immatriculés N192CK et N227CK étaient présents.

24 juillet 2015. En ce vendredi, où il règne une température torride, je suis invité pour réaliser un reportage au sujet du "Pier 7 Heliport" situé dans le port de Baltimore au Maryland. Pour m’y rendre depuis la gare, je prends le bus 13 pour un trajet que je qualifierais de "culturellement fort enrichissant". Une fois sur place, j’ai la chance de pouvoir photographier deux Airbus Helicopters EC145 de STAT MedEvac (N307ME et N522ME), dont l’un porte les couleurs du Johns Hopkins Hospital, un gigantesque complexe hospitalier de Baltimore qui possède un héliport sur le toit de l’un de ses bâtiments. À l’intérieur du vaste hangar attenant à l’aire d’atterrissage située sur le quai de la jetée No. 7, je note la présence du Bell 407 N407MG et du Bell 430 N255MK de GrandView Aviation, l’exploitant des lieux. Ces deux hélicoptères sont équipés d’un luxueux intérieur VIP. Je vous reparlerai de tout ceci d’ici quelques semaines dans le cadre d’un article détaillé au sujet des opérations de cet héliport. En attendant, vous pouvez consulter toutes les photos prises lors de ma visite en cliquant sur les liens ci-après :

Photos : GrandView Aviation - STAT MedEvac - Pier 7 Heliport.

23 juillet 2015. En sortant du musée Steven F. Udvar-Hazy et avant de reprendre le bus vers le terminus de la ligne de métro Silver, je passe une petite heure assis à l’ombre sur un banc au pied de la tour de contrôle du musée pour photographier le trafic en approche sur la piste 01R de l'aéroport international de Washington Dulles (IAD). Le déficit en avions aux couleurs de United Airlines de la veille à Reagan est largement compensé ici, mais il s’agit essentiellement de CRJ, de Dash 8 et d’Embraer. Je note aussi deux Boeing 737 ainsi qu’un 767. Par contre, à environ cinq minutes d’intervalle, le 747-830 D-ABYI de Lufthansa, portant les titres "Fanhansa Siegerflieger", et l’Airbus A380-861 F-HPJI d’Air France se présentent en approche. En ce qui concerne le Jumbo, il s’agit du premier -800 que je photographie décemment. Quatre jets d’affaires atterrissent également entre les avions de ligne. Puis, vers 16h30, le trafic cesse littéralement d’un coup. N’observant plus rien à l’horizon, j’embarque dans l’autobus pour mon périple de retour vers Washington DC.

Photos : Air France - Lufthansa - United - Avions d'affaires.

23 juillet 2015. Second site du Smithsonian dédié à l’aviation, le musée national Steven F. Udvar-Hazy est établi en bordure de l’aéroport international de Washington Dulles (IAD). Il a été inauguré en 2003 pour accueillir plus d’aéronefs, et surtout des appareils plus grands, qui ne pouvaient être exposés dans les installations de l’institution au centre-ville. La collection qui y est présentée est absolument époustouflante avec des appareils uniques au monde comme, par exemple, le prototype du Boeing 367-80 "Dash 80", qui a servi au développement du modèle 707 et qui a propulsé le géant de Seattle dans l’ère du jet commercial. Mais il y a aussi le Concorde F-BVFA d’Air France, un Lockheed SR-71A Black Bird et une panoplie impressionnante d’avions allemands et japonais de la Seconde guerre mondiale tels les Arado Ar 234 B-2 Blitz, Dornier Do 335 A-0 Pfeil ou, encore, l’Aichi M6A1 Seiran. Mais celle pour qui j’ai eu le coup de cœur est la navette spatiale Discovery que l’on peut approcher de tout près. Se dire que cet engin est allé dans l’espace et en est revenu demeure, encore actuellement, un exploit technologique. À noter aussi, un exemplaire du bras canadien Canadarm exposé à côté de Discovery. Dans le hall dédié à l’espace, on peut voir également les capsules Gemini et Apollo ainsi que bon nombre de satellites, missiles ou autres engins spatiaux. Il y a également une belle série de voilures tournantes ainsi qu’une collection d’appareils datant du début de l’aviation ainsi que de la Première guerre mondiale. Un aspect intéressant, également, est la mezzanine surplombant les deux hangars de restauration d’aéronefs d’où l’on peut admirer le travail de remise en état de plusieurs appareils qui viendront étoffer la collection actuelle du musée. Bien entendu, on trouve également des avions de la Seconde guerre mondiale, parfois assez rares comme un Northrop P-61C Black Widow ou le bombardier B-29 "Enola Gay" dont je vous ai parlé il y a deux jours, des petits avions civils ou d’affaires ainsi que des jets militaires, dont un Lockheed Martin X-35B, mais avec, malgré tout, un petit "goût de trop peu" en ce qui concerne ces derniers. Si l’on compare Udvar-Hazy aux présentations du centre-ville, on peut noter qu’elles sont moins didactiques. En fait, il s’agit plus d’un endroit d’exposition d’aéronefs, d’engins spatiaux et de matériel que l’est l’autre site du Smithsonian. Pour ma part, j’ai été absolument très heureux de pouvoir visiter ces deux musées qui sont indissociables l’un de l’autre du fait de leur complémentarité. Finalement, le seul point négatif concerne la photographie tant à Udvar-Hazy qu’au centre-ville, car souvent les aéronefs sont mal éclairés ou seulement une partie de ceux-ci sont éclairés, ce qui est très pénible pour obtenir de bons clichés bien équilibrés en lumière. D’autre part, la photographie au flash de même que l’usage de monopieds ou de trépieds sont interdits. Par ailleurs, au centre-ville, il vaut mieux photographier lors d’une journée couverte afin d’éviter des zones d’ombres importantes du fait de la structure transparente de la toiture du bâtiment. Il faudra donc que j’y retourne un jour, car il a fait beau durant mes deux visites ! Voilà donc le bon prétexte tout trouvé d’aller revoir ces deux musées que je considère comme étant les plus beaux que j’ai pu visiter à ce jour. En cliquant sur le lien ci-après, vous pourrez voir une sélection de photos prises à Udvar-Hazy :

Toutes les photos du musée Steven F. Udvar-Hazy.

Il y a quelques jours, je vous avais relaté ma visite au Musée de l’aviation d’Hagerstown au Maryland et présenté une série de photos prises lors de la journée portes ouvertes qui y était organisée. Souhaitant connaître un peu mieux l’histoire de l’industrie de l’aéronautique qui fut établie à cet endroit entre 1916 et 1984, j’ai acquis ce livre fort intéressant dont je vous livre ma critique, comme d’habitude, à la rubrique "bibliographie".

Critique du livre.

Information précédente au sujet d'Hagerstown.

Le 6 août 1945, il y a donc exactement 70 ans aujourd’hui, le bombardier Martin (Boeing) B-29-40-MO Superfortress immatriculé 44-86292 larguait la première bombe atomique, répondant au nom de code de "Little Boy", sur la ville japonaise d’Hiroshima. 70.000 à 80.000 personnes, majoritairement des civils, sont morts instantanément, soufflés par la déflagration. Cette action, ainsi qu’une autre semblable, effectuée trois jours plus tard sur Nagasaki, ont amené le Japon à capituler, mettant ainsi un terme définitif à la Seconde guerre mondiale. Baptisé "Enola Gay", le B-29 ayant pris part à cette mission controversée, est actuellement préservé au musée Steven F. Udvar-Hazy du Smithsonian situé à l’aéroport de Washington Dulles. J’ai eu l’occasion de le visiter le 23 juillet dernier et, je dois l’admettre, passer juste à côté de ce bombardier ayant marqué à jamais l’Histoire ne laisse pas indifférent. La simple pensée que l’avion qui est sous vos yeux a contribué à anéantir une ville entière et à tuer 70.000 de ses habitants donne froid dans le dos. D’un autre côté, c’est aussi l’action menée par l’équipage de cet appareil qui a permis de mettre fin à la guerre et d’éviter la mort de dizaines de milliers d’Américains et de Japonais dans un conflit qui était parti pour s’éterniser. C’est là l’absurdité de la chose … Voici une série de liens intéressants au sujet d’Enola Gay et de cette horrible mission :

Fiche descriptive d'Enola Gay (Smithsonian).

Exposition d'Enola Gay pour les 50 ans de la mission d'Hiroshima (Smithsonian).

National Air and Space Museum Completes Restoration of Enola Gay at Udvar-Hazy Center, the Museum's New Companion Facility (Smithsonian).

Historians Protest New Enola Gay Exhibit (American Historical Association).

Projet Manhattan (Wikipedia).

Il y a à peine quelques jours, je vous mentionnais qu’Erik Johannesson avait lancé un nouveau blogue à propos du Dash 8, mais voici que le 3 août dernier, il a récidivé en mettant en ligne encore un autre blogue, au sujet du Dash 7, cette fois-ci. Voilà donc quelqu’un qui devrait être tenu occupé durant les prochaines années ! Je profite de l’occasion pour faire le point au sujet des sites Internet dédiés aux avions De Havilland Canada :

DHC-1 Chipmunk : aucun.

DHC-2 Beaver (site) : http://www.dhc-2.com

DHC-3 Otter (site) : http://www.dhc3otter.com

DHC-4 Caribou & DHC-5 Buffalo (site) : http://www.dhc4and5.org

DHC-6 Twin Otter (site) : http://www.twinotterarchive.com

DHC-6 Twin Otter (blogue) : http://twinotterspotter.blogspot.ca

DHC-7 (blogue) : http://www.dash7spotter.blogspot.ca

DHC-8 (blogue) : http://www.dash8spotter.blogspot.ca

Si vous en connaissez d’autres, faites-moi signe afin que je les communique sur ce blogue. Bien entendu, il y a aussi le site du manufacturier Viking Air qui produit actuellement le DHC-6 Twin Otter et qui dispose également des certificats de type des DHC-2, DHC-3, DHC-4, DHC-5 et DHC-7.

Information précédente à ce sujet.

23 juillet 2015. Je débute cette journée par un reportage au sujet des deux hélicoptères Bell 429 de la Police du Comté de Fairfax (N211FX et N212FX) en Virginie. L’accueil y est chaleureux et je vous relaterai tout ceci, ainsi que les missions effectuées par cette unité, dans un prochain article à venir d’ici quelques semaines. Un peu de patience, donc, mais, d’ici là, vous pouvez voir les photos prises à Fairfax ainsi qu’une séquence vidéo présentant les deux Bell 429 en action.

Photos.

22 juillet 2015. Après ma seconde visite au Musée de l’air et de l’espace du Smithsonian, j’embarque dans le métro pour l’aéroport de Washington-Reagan (DCA). Malheureusement, le vent vient du nord et je ne pourrai pas aller prendre des photos depuis le Gravelly Point dont on vante tant les mérites. Je dois donc me "contenter" de l’aérogare à partir de laquelle on peut malgré tout photographier de façon acceptable, avec le confort de bons sièges et de la climatisation en prime (un avantage incontestable quand il fait plus de 30°C dehors !) Je m’installe au terminal B entre les portes de Jet Blue et de Delta, un endroit qui me semble le meilleur compromis même si, parfois, on est gêné par un avion au départ. Il y en a bien un autre un peu mieux placé au terminal A, mais les vitres sont dans un état pitoyable et il y a beaucoup de reflets. Qui plus est, il n’y a pas de sièges. Du côté du trafic, il n’y a rien de bien spectaculaire, mais on peut se faire rapidement un "fond de commerce" en images d’avions d’American Airlines, Delta Air Lines, Jet Blue, Southwest et US Airways, les principales compagnies fréquentant cet aéroport. On y voit aussi quelques avions d’Alaska Airlines, de Frontier, de United Airlines et de Virgin America. Puis il y a aussi les jets d’affaires toujours imprévisibles, mais souvent intéressants comme le Cessna 650XL Citation XLS portant les titres "United States of America" et immatriculé N3 ou, encore, le Canadair CL604 Challenger N540BA de Boeing. Voici, ci-dessous, une sélection des meilleures prises du jour.

Photos : Avions d’affaires – Alaska Airlines – American Airlines – Delta Air Lines – Jet Blue – Southwest - United – US Airways – Virgin America – Washington Reagan Airport.

Guide au sujet de DCA (PDF) diffusé par le Washington Baltimore Spotters Group.

Ce nouveau livre de 392 pages de la plume de Larry Milberry sera disponible à compter du 17 août 2015. Il traitera de l’histoire d’une entreprise du secteur aéronautique canadien qui, depuis 1947, s’est taillée une place enviable au niveau mondial en ce qui concerne la simulation et la formation : la CAE. Après la série de livres déjà assez ancienne au sujet de Canadair, De Havilland Canada et Pratt & Whitney Canada, Canav Books renoue avec un titre relatif à un gros joueur de l’aérospatial canadien. Connaissant Larry Milberry, nul doute que la minutie du récit historique sera au rendez-vous et comblera toutes les attentes des passionnés et spécialistes. Vous pouvez réserver votre exemplaire en utilisant le document PDF suivant :

Description et bon de commande (PDF 143 Ko).

Informations sur le blogue de Canav Books.

Information précédente au sujet de la série "Aviation in Canada".

Information précédente au sujet de Canav Books.

Une belle série variée d’avions et d’hélicoptères photographiés durant le mois de juillet 2015 à l’aéroport de Saint-Hubert. Il s’agit autant d’aéronefs résidents que de visiteurs.