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Galerie Zenfolio
1er avril 2011
Comme vous le savez tous, chers visiteurs de ce blogue, le serveur Fotopic n'est plus. N'ayant aucune nouvelle quant à un rétablissement du service prochainement ou non, je vous avais annoncé que j'avais ouvert un compte sur Zenfolio. Petit à petit, cette galerie prend forme même si quelques pages sont encore en chantier. Toutes les nouvelles images sont désormais systématiquement chargées sur Zenfolio. Progressivement, je transfère aussi les photos de quelques galeries Fotopic, telles celles du voyage que j'avais effectué en Chine en janvier dernier. Je vous suggère donc de visiter cette nouvelle galerie Zenfolio très régulièrement. N'hésitez pas non plus à me faire part de vos commentaires. Information précédente à ce sujet. |
Record battu !
29 mars 2011
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Record, peut-être, mais de la honte ! En effet, c'est aujourd'hui que la Belgique bat le record du monde de l'absence de gouvernement ayant prêté serment. 289 jours de chicanes politiques depuis les dernières élections fédérales du 13 juin 2010, c'est tout simplement lamentable. Si souvent le Belge traite ce sujet avec humour, il n'en demeure pas moins, pour moi, qu'il représente purement et simplement la faillite de la fédéralisation de la Belgique mise en place par les réformes institutionnelles de 1970. Au plus on tente de fractionner les pouvoirs politiques du Royaume, au plus on s'en va vers l'impasse. Ce fait démontre également l'incompétence des politiciens belges à dénouer la crise. J'évite, d'ordinaire, à émettre publiquement des commentaires politiques, mais il s'agit ici de mon pays que je souhaite voir respecter sa devise qui n'a pour le moment plus de sens, mais qui existe toujours : "l'union fait la force - eendracht maakt macht - einigkeit macht stark". Correctif (30 mars 2011) : après recherches, il semblerait que ce soit le Cambodge qui détienne toujours le record du monde avec 353 jours sans gouvernement. Un rectificatif qui ne change rien au problème, hélas ... |
Petit séjour à Cuba
22 mars 2011
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Ayant besoin d’un peu de repos suite à quelques semaines mouvementées sur le plan professionnel, Louise et moi avons opté pour un séjour d’une semaine à Cuba. N’ayant ni le temps, ni l’envie de préparer un voyage de A à Z, nous avons été nous renseigner à propos de quelques forfaits à notre agence Club Voyages JM et finalement nous avons choisi un séjour mixte à La Havane et à Varadero. Là, tout ceux qui me connaissent bien, savent que ce n’est pas du tout le genre de tourisme que j’ai l’habitude de pratiquer, mais j’avais besoin d’un voyage exotique, tout de suite et sans me tracasser afin de me changer les idées. Cuba étant une destination « soleil » où il y a malgré tout beaucoup de culture et de choses intéressantes à voir, l’hésitation n’a pas été longue. Et puis, tant qu’à y être, après la Chine, pourquoi ne pas voir un autre pays communiste ? Ayant malgré tout fouillé un peu sur Internet avant le départ, je suis tombé sur plusieurs sites et blogues d’apprentis moralisateurs qui couvraient de honte tout voyageur se rendant à Cuba soutenir financièrement la dictature locale. À cela, je voudrais simplement répondre que Cuba a une population en général très pauvre et que le tourisme, peu en importe la forme, est une rentrée essentielle pour le pays, même si certains s’enrichissent probablement plus que d’autres. Et puis, si on remonte un peu dans le temps, l’Espagne a développé son tourisme sous la dictature de Franco, ce qui ne l’a pas empêchée de devenir un des pays les plus visités au monde. Un moment donné les dictateurs s’en vont et le tourisme subsiste. Ceci étant dit, nous avons effectivement constaté que les Cubains étaient assez pauvres, mais toujours accueillants. À La Havane, nous avons circulé à pied en dehors des circuits touristiques habituels et nous avons été dans des quartiers moins favorisés. Toutefois, jamais nous n’avons été inquiétés ou menacés même si souvent mon Nikon était bien en vue. Globalement, on sent donc en sécurité à Cuba et c’est un point que je considère comme très important dans le choix d’une destination de voyage. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle je n’ai pas encore été à Rome ou dans le sud de l’Italie où les nombreuses histoires de vols que j’ai entendues m’ont toujours dissuadé de m’y rendre. À Cuba, vous entendrez toujours de la musique où que vous soyez ou allez. À La Havane, on tombe sur des musiciens de rue jouant par simple plaisir ou par plaisir pour se faire un peu d’argent. Dans une ruelle, nous avons pu entendre des enfants chanter une chanson ayant pour thème le chocolat et qui étaient accompagnés d’un jeune homme donnant le rythme à la guitare. Ce moment passé à les écouter demeurera toujours un moment fort de mon voyage à Cuba. Au terme de cette petite semaine du 12 mars au 19 mars passée à Cuba, je n’ai qu’une envie : ce sera d’y retourner un jour et de m’intéresser un peu plus à ce pays dont la population méritante, qui est l’otage de l’embargo américain, fait de nombreux efforts pour s’en sortir. Dans les jours qui suivent, je vous commenterai différents aspects de notre voyage au gré du traitement des photos et de leur transfert sur Zenfolio. |
La fin de Fotopic.net ?
20 mars 2011
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Depuis le 9 mars 2011, le site d'hébergement d'images Fotopic.net ne répond plus. Les nombreux clients de ce serveur implanté en Angleterre sont laissés sans aucune nouvelle et il semblerait que cette interruption de service soit maintenant définitive. Fotopic.net offrait une plate-forme intéressante pour présenter des photos numériques et de nombreux amateurs d'avions, de trains, de bus ou autres l'avaient choisie de préférence à Flickr, par exemple, pour y placer souvent quelques milliers d'images. Pour ma part, ce sont plus de 10000 photos qui se trouvaient sur ce serveur et qui sont maintenant totalement inaccessibles. Peut-être qu'un repreneur relancera les activités de Fotopic d'ici quelque temps, mais, pour le moment, je viens d'ouvrir un compte sur Zenfolio qui offre un excellent service, semblerait-il, ainsi qu'une présentation professionnelle des images. Toutes mes nouvelles images seront donc placées sur Zenfolio dans l'immédiat et, progressivement, toutes les galeries et collections qui étaient sur Fotopic seront transférées sur Zenfolio, ce qui représente, probablement, un travail étalé sur plusieurs mois, voire années. Simultanément, tous les liens de mes pages html seront mis à jour au fur et à mesure du transfert des images. Je suis donc bien désolé de cette situation et j'espère que les nombreux visiteurs de mes blogues et galeries ne m'en tiendront pas rigueur. Je compte régulièrement vous tenir informés de l'état d'avancement du transfert des images sur Zenfolio. Informations au sujet de Fotopic sur Facebook. Information précédente au sujet de Fotopic. Si vous voulez vous aussi ouvrir une galerie d'images sur Zenfolio, donnez le code promotionnel QE7-ANJ-9ZP lors de votre inscription afin d'obtenir une ristourne. |
Bruxelles-Montréal en Cessna
6 mars 2011
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En septembre 1997, j'ai eu l'occasion de vivre une aventure hors du commun puisqu'il s'agissait d'accompagner à bord d'un bimoteur Cessna 310 lors d'un vol de convoyage au-dessus de l'Océan Atlantique. Cette traversée de Grimbergen (EBGB) à Saint-Hubert (CYHU), d'une durée totale d'un peu plus de 26 heures, nous aura mené en Écosse, en Islande, au Groenland et à Terre-Neuve. Dès la fin du voyage, j'ai écrit mes souvenirs. Ceux-ci n'ont jamais été publiés ou diffusés jusqu'à aujourd'hui. En effet, je viens de joindre le texte écrit à l'époque à des numérisations de mes diapositives Kodachrome prises lors de cette aventure afin de compiler le tout sous forme d'un article de 20 pages que vous trouverez en lien ci-dessous ainsi qu'à la page "Articles" du blogue aéronautique. Bonne lecture ! |
"Visages de Chine" au Westland Shopping
4 mars 2011
Mon ami Roland "Wang888", toujours très actif lorsqu'il s'agit de parler de la Chine, organise une exposition intitulée "Visages de Chine" au Westland Shopping d'Anderlecht (pour mes amis canadiens, c'est à Bruxelles !) du 9 au 19 mars 2011. On vous y attend nombreux. |
Une de mes photos de Chine à l'honneur sur Fotopic.net
28 février 2011
Aujourd'hui, c'est une de mes vues prise dans un hutong de Pékin qui a été choisie comme photo du jour sur le site d'images Fotopic.net. Personnellement, je préfère la convivialité de Fotopic.net par rapport aux autres sites populaires de stockage d'images. |
Le train le plus rapide du monde ... suite
26 février 2011
Photo : Wang888 |
Mon ami belge Roland "Wang888" me fait remarquer, à juste titre, que le train que nous avons pris entre Pékin et Tianjin n'était pas le plus rapide du monde. En effet, les rames CRH380A reliant Shanghai à Hangzhou roulent à 353 Km/h, soit environ 20 Km/h plus vite que le TGV que nous avons pris. Voilà qui est dit et, de toute façon, ça ne change pas grand-chose car nous parlons toujours de trains en Chine. Roland me rappelle aussi que ce sont les Belges qui ont créé la première ligne de chemin de fer pour passagers en Chine ainsi que le premier tramway à Tianjin. Que d'évolution depuis ! Article de "Wang888" au sujet du TGV Shanghai-Hangzhou. Article au sujet de l'inauguration de la ligne de TGV Shanghai-Hangzhou. Information précédente à ce sujet. |
Photos au Parc régional de Longueuil
25 février 2011
De retour de Chine, j'ai, bien entendu, repris mes balades dans le Parc régional de Longueuil. Comme l'an dernier, lorsque les conditions s'y prêtent, j'essaie de faire des photos de la faune et de la flore. |
Shanghai
23 février 2011
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18, 19 et 20 janvier 2011. Nous terminons notre périple par Shanghai. Cette ville peuplée par 15 millions d’habitants est différente des autres que nous avons vues car elle a su combiner la préservation du patrimoine avec l’urbanisation moderne. C’est ainsi qu’à côté des immeubles-tours et des immenses centres d’achat, on peut trouver des quartiers qui ont gardé leur authenticité et leur caractère d’autrefois. Shanghai a aussi des allures de ville européenne avec ses rues plus étroites et certaines grosses artères piétonnes, telle la Nanjing Road. Personnellement, je suis tombé en amour avec le quartier situé à proximité de la station de métro "Xintiandi". Dans ce quartier modeste, on peut trouver des rues commerçantes ayant conservé leur cachet d’antan. Une boutique de réparation en mécanique en tout genre côtoie une échoppe de coiffeur qui, elle-même, se situe à côté d’une fabrique artisanale de nouille qui voisine avec une boucherie où les volailles sont pendues en façade ou posées à même le sol. Puis vient encore une autre maison de coiffure et un marchand de fruit et légumes, le tout dans une ambiance grouillante. Chaque commerce doit avoir une largeur utile de deux à trois mètres au maximum et certains d’entre-eux ont une profondeur n’excédant pas les deux mètres également. Malheureusement, la bruine qui règne le jour de ma visite m’empêche de prendre toutes les photos que j’aurais souhaitées, mais je me dis, qu’un jour, je reviendrai revoir ce quartier dans de bonnes conditions. Une fois le soir venu, les artères commerçantes s’illuminent. De l’autre côté de la rivière Huangpu, le nouveau quartier de Pudong devient féerique. Ses tours illuminées et les bateaux touristiques arborant des néons naviguant sur la rivière ont de quoi attirer un regard émerveillé pour quiconque se promène dans le parc du Huangpu. |
La maison de Mao
22 février 2011
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16 janvier 2011. Aujourd’hui, nous allons dans la région de Shaoshan. Pour nous, il s’agit de notre première incursion dans la campagne chinoise. Shaoshan a la particularité d’être le village natal de Mao Zedong. On peut y visiter sa maison ainsi qu’un mausolée et un musée qui lui sont dédiés. Dans un parc orné de plantations typiques de la région, trône une immense statue du leader chinois depuis 1993. Lors de notre visite, une cérémonie de dépôt de gerbes de fleurs a lieu en même temps que se déroule un feu d’artifice en plein jour. Selon notre guide, il est étonnant de voir autant de monde aduler Mao alors que les dix années de Révolution Culturelle ne représentent qu’une seule ligne dans les manuels d’histoire moderne des écoliers chinois. Un peu plus loin, à trois kilomètres de là, nous visitons la Grotte aux Eaux Ruisselantes où, en 1966, Mao s’est retiré durant onze jours dans une grande villa où se situe un abris anti-atomique. Dans la partie musée, on peut admirer différents objets hétéroclites souvent liés à sa vie, notamment une table de ping-pong sur laquelle il a un jour joué et qui est conservée depuis "dans l’état" sous une épaisse protection vitrée. Il y a même un vieux coffret de fusibles électriques triphasé qui est exposé ! |
Shenyang
21 février 2011
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12, 13, 14 et 15 janvier 2011. Nos obligations ne nous auront malheureusement pas permis de découvrir cette ville. Toutefois, nos hôtes nous font visiter le Palais Impérial par une température de -30°C avant de nous proposer un ultime dîner de dumplings fort apprécié et de nous conduire à l’aéroport pour notre étape suivante. Un de nos regrets à Shenyang sera de ne pas avoir visité le musée local de la locomotive à vapeur. Qui sait, peut être qu’un jour nous reviendrons ... |
Tanggu et Tianjin
19 février 2011
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10, 11 et 12 janvier 2011. À Tianjin, nous avons l’opportunité de visiter une usine de Motorola produisant des téléphones cellulaires. Notre impression est que le géant américain des télécommunications offre de bonnes conditions de travail à ses employés et participe à leur formation tout en bénéficiant des conditions très avantageuses de la région industrielle de Tianjin. Notre arrêt suivant est au musée de Tanggu où nous faisons connaissance avec l’histoire de cette région portuaire. Petit coup d’œil à la "plage" du Parc Waitan de Tanggu, où nous découvrons que le Mannekenpis a un frère chinois, avant de rejoindre l’impressionnant port de Tianjin, troisième au monde en importance selon notre excellent guide. Nous terminons notre excursion par un détour à un parc thématique centré sur l’armée, la pièce principale étant l’ancien porte-avions soviétique "Kiev" désaffecté. |
Le train le plus rapide du monde
12 février 2011
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10, 12, 18 et 20 janvier 2011. Pour nous rendre à Tianjin, nous avons décidé de prendre le train et pas n’importe lequel puisqu’il semblerait qu’il s’agisse du train le plus rapide du monde utilisé en service régulier. Il faut savoir qu’à ce jour, la Chine dispose du plus grand réseau de trains à grande vitesse du monde avec plus de 8000 kilomètres de voies ferrées permettant des vitesses supérieures à 200 Km/h. Nous rejoignons nos places assignées en première classe à bord de la voiture numéro 5 du train C2205 à la gare de Pékin-Sud. Notre rame est de type CRH3 dont la technologie provient de chez Siemens. Nous avons opté pour la première classe car la différence de prix était dérisoire par rapport à la seconde. En effet, nous avons payé l’équivalent de 13 dollars, soit deux dollars de plus que la seconde classe. Le personnel des chemins de fer en uniforme strict et moulant me rappelle les élégantes hôtesses de Hainan Airlines et de l’eau provenant du Tibet est disponible à volonté sur un présentoir situé à l’entrée du wagon. Dans notre voiture, nous pouvons suivre la progression de l’accélération. Notre vitesse culmine un moment donné à 334 Km/h avant de diminuer car, en effet, nous arrivons à l’arrêt intermédiaire situé à Wuqing. Une minute plus tard, nous repartons pour atteindre la gare de Tianjin 35 minutes après notre départ. Deux jours plus tard, nous sommes de retour à la gare de Tianjin pour prendre le train rapide D177 en direction de Shenyang. Il s’agit, cette fois-ci, d’une rame de type CRH5, copie conforme des rames italiennes "New Pendolino" et "Cisalpino" développées par Alstom. Quatre heures et trente-cinq minutes sont nécessaires pour parcourir les quelque 720 Km séparant les deux villes. Si on effectue un rapide calcul en tenant compte des arrêts en chemin, cela signifie une vitesse moyenne proche de 200 Km/h. En effet, un moment donné, l’afficheur situé à l’intérieur de notre voiture indique même une pointe à 240 Km/h. Le 18 janvier, nous prenons le train rapide D106 entre Zhuzhou et Shanghai. Nous avons droit encore à un autre modèle de rame puisqu’il s’agit de CRH2 inspirées du Shinkansen japonais. Notre appréciation du trajet est la même que celle que nous avons émise au sujet du précédent. Environ 1200 kilomètres sont parcourus en sept heures et 11 minutes. Par ailleurs, même sur des distances aussi longues, l’horaire est respecté à la minute près, de quoi donner des leçons aux compagnies américaines et européennes de chemins de fer, telle la SNCB qui semble actuellement éprouver beaucoup de difficultés à avoir un train à l’heure. La cerise sur le gâteau est le parcours entre le centre-ville de Shanghai et l’Aéroport de Pudong avec le Maglev. Lors de ce trajet d’une durée de huit minutes, notre rame Transrapid venant d’Allemagne atteint la vitesse de 431 Km/h. Le Maglev est un démonstrateur technologique évoluant grâce à une sustentation par champ magnétique. Assez curieusement, alors que l’on pourrait croire que le déplacement de ce train se ferait de manière très douce, au-delà de 300 Km/h, on est secoué à peu près comme dans un tramway bruxellois. Néanmoins, l’expérience vaut la peine et démontre, une fois de plus, l’utilisation sans restriction des technologies de pointe en Chine. Quand on pense à la navette ferroviaire qui devrait (peut-être) un jour relier Montréal à l’aéroport de Dorval avec de poussives rames de l’AMT, nous devons passer pour de vrais néanderthaliens aux yeux des Chinois. |
La Grande Muraille
11 février 2011
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9 janvier 2011. La Grande Muraille de Chine est un incontournable de toute visite à Pékin. Nous avons opté pour une excursion touristique en autocar proposée par notre hôtel pour une somme dérisoire. Notre premier arrêt a lieu aux tombeaux des Ming enfouis dans un tumulus et finalement, il n’y a pas grand chose à voir de vraiment intéressant car, tout comme pour les tombeaux des Pharaons en Égypte, l’accès y est interdit afin d’éviter toute dégradation. L’étape suivante nous mène à une fabrique de jade à Changping où, pour accéder au restaurant et à notre lunch inclus dans le prix du voyage, il faut rester dans un immense magasin attenant à la fabrique durant une demi-heure. Le prix des pièces les moins chères avoisine le dollar tandis que les plus belles œuvres peuvent valoir quelques centaines de milliers de dollars. On achète donc suivant ses moyens ! Lors de notre trajet pour nous rendre à la prochaine visite, notre guide nous vante les vertus de l’acuponcture totalement maîtrisée par les Chinois et qui, selon lui, permet de nous guérir facilement de tous les maux. L’autocar nous débarque ensuite, vous l’aurez compris, face à une clinique spécialisée où après quelques brèves explications, trois médecins acuponcteurs à l’air sérieux et vêtus de tabliers blancs consultent les différents touristes volontaires. Quelques-uns partent avec une prescription dont le coût frôle parfois les cent dollars à dépenser sur place, bien entendu. Nous atteignons finalement le but de notre périple : la portion de la Grande Muraille située à Badaling. Si cette partie de la muraille est réputée comme étant assez fréquentée par les touristes, ce qui me déçoit le plus, c’est le fait que le site est entouré d’équipements récents forts visibles, comme de gros projecteurs, qui gâchent le paysage. Il y a également une immense annonce pour les Jeux Olympiques de Pékin en 2008 qui commence à décrépir par endroits et qui, selon moi, devrait être ôtée. Toutefois, en choisissant bien mes cadrages, j’arrive à masquer autant que possible toutes les laideurs de la vie moderne entourant le site. La balade est, par contre, à la hauteur des attentes ; le parcours sinueux, accusant souvent des pentes fort raides, et le vent glacial qui nous cingle en permanence rend notre promenade sur la muraille assez sportive. C’est donc avec un certain soulagement que nous retrouvons la chaleur de notre autocar après deux heures de marche et que nous rentrons à Pékin. |
C'est le Nouvel-An Chinois !
2 février 2011
En ce 3 février 2011, les Chinois entrent dans l'année du Lapin de Métal Blanc. Détails au sujet du Nouvel-An Chinois (Chine-informations.com). |
Pékin, prise deux
1er février 2011
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6 et 7 janvier 2011. Après deux jours passés à Tianjin pour le travail, je retourne à Pékin. Je profite de mon après-midi pour me rendre, tout d’abord, à un cimetière d’avions que j’avais repéré à l’aide des images satellites Google. J’avais décidé de visiter ensuite le Musée de l’Aviation de Pékin, théoriquement tout proche, mais j’apprends que celui-ci a été démoli. Un peu déçu, je me rends au site des Jeux Olympiques de 2008. Dès que je sors du métro, la bande sonore enregistrée lors de la cérémonie d’ouverture me met dans l’ambiance des jeux. Même si le froid est glacial, je découvre les différents édifices que je me souvenais avoir vus à l’époque à la télévision ... l'été ! La lumière est excellente et j’en profite donc pour effectuer quelques belles prises de vues. Ma déception du Musée de l’Aviation est ainsi très vite dissipée. En début de soirée, ma compagne Louise ainsi que les étudiants du groupe Exploration ÉNA me rejoignent à l’hôtel. Nous poursuivrons le voyage en Chine ensemble. Le samedi 7 janvier, nous visitons la Cité Interdite, bien plus vaste que nous ne l’imaginions. Nous passons une demi-journée dans ce site absolument fantastique et empreint de 600 ans d’histoire. Nous traversons ensuite la Place Tiananmen avant de rejoindre le magnifique quartier commerçant de la rue Qianmen que j’avais visité quelques jours auparavant en compagnie de mon arnaqueur de Shanghai. Aujourd’hui, c’est moi qui sert de guide aux autres membres du groupe et qui leur fait découvrir des hutongs sinueux et encombrés ainsi que quelques magasins typiques, tel un magnifique commerce de soie et de tissus. Nous terminons notre périple du jour dans un très bon restaurant où nous goûtons à différents plats de la spécialité locale : le canard. L’un d’entre eux s’appelle « les quatre trésors du canard » et sont des parties du volatile que nous n’avons pas l’habitude de manger. Néanmoins, ces «trésors» s’avèrent tous excellents ! |
Tianjin
27 janvier 2011
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4, 5 et 6 janvier 2011. Je quitte Pékin pour Tianjin par la route et je constate que les Chinois au volant, ce n’est pas brillant … Notre chauffeur aurait de quoi faire pâlir de jalousie un taximan casaoui. Mais, si à Casablanca un trajet effectué avec un «Petit Taxi» a encore quelque chose d’amusant, ici on parle de danger permanent. Slaloms entre les camions, dépassements à gauche, à droite et par la voie d’arrêt d’urgence, franchissements de lignes continues, peu (c’est-à-dire quasi jamais) de clignotant pour indiquer un changement de voie (notez que c’est monnaie courante au Québec aussi !), queues de poissons en tout genre, passage «à l’influence» et dépassements à contre-sens sont quelques-unes des infractions en pagaille commises durant les deux heures que dure le trajet. Je ne sais par quel miracle, mais j’en sors vivant … Je pense que j’irai faire brûler une baguette d’encens à Bouddha à mon retour à Pékin. Ce qui est curieux, c’est qu’on ne voit jamais le moindre policier verbaliser sur les routes. Le seul que j’ai vu dresser un procès verbal, c’était sur la Place Tiananmen, bien en vue. Ceci étant dit, me voilà à Tianjin, ville portuaire et industrielle de plus de 42 millions d’habitants ne présentant aucun intérêt touristique. Les quartiers industriels s’étendent à perte de vue et on peut régulièrement identifier quelques bannières connues telles Motorola ainsi que les pneus Continental et Michelin. De nombreux quartiers d’HLM sont aussi visibles et il existe une ligne de tramway ultra-moderne à rail unique, premier du genre qu’il m’est donné de voir. Quelques quartiers plus anciens sont constitués de maisons cossues et les espaces verts ne sont pas légion. Toutes les avenues principales ont au moins six voies de large et, le soir venu, les boulevards du centre-ville s’illuminent de nombreuses enseignes lumineuses et deviennent effervescents. |
Le Pékin historique
26 janvier 2011
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3 janvier 2011. Profitant de cette journée seul à Pékin, je décide de visiter le centre historique à pied. Pour me rendre à pied d’œuvre, j’utilise le métro et c’est là que je constate que notre métro de Montréal, fief de Bombardier, fait office d’ancêtre jurassique à côté des rames pékinoises bourrées de technologie. Il y a même des écrans placés dans les tunnels entre les stations qui diffusent de la publicité en faisant progresser les images de manière continue à la même vitesse que la rame afin que vous ne perdiez rien du message en chemin ! Quant aux cartes magnétiques utilisées pour un passage, elles sont récupérées à la sortie, ainsi, plus de déchets. La STM devrait aller voir ça pour y trouver source d’inspiration. Une fois de retour à la surface, je commence mon périple pédestre par le Temple des Lamas, le plus gros temple tibétain hors Tibet. Il s’agit d’un sanctuaire absolument magnifique où l’on croise régulièrement des moines au crâne rasé. Bien entendu, on y vénère Bouddha et celui-ci compte de nombreux fidèles qui, profitant eux aussi de leur journée de congé, sont venus le prier dignement et en foule. Ce qui m’a le plus surpris, c’est de voir autant de jeunes en doudounes colorées se prosterner devant les multiples statues et représentations des bouddhas à l’heure où, en Belgique ou au Québec, il est quasi impensable de croiser un jeune de moins de 25 ans dans une église ! Par la suite, je rejoins le mur d’enceinte de la Cité Interdite en empruntant différents hutongs et artères principales. Ayant prévu d’y revenir plus tard pour la visiter plus en profondeur, je décide donc de simplement la contourner. Évidemment, à partir de ce moment-là, on n’est plus tranquille car constamment harcelé, même si c’est effectué avec politesse, par des vendeurs et prétendus guides de tous poils. J’étais également prévenu, qu’étant seul, je serais une cible pour de jeunes Chinois pratiquant l’anglais en vue de «m’inviter» dans un salon de thé ou finalement la note se révèlerait salée. Effectivement, sur le bord de la Cité Interdite, deux jeunes filles m’abordent et entament la conversation de façon fort sympathique. Arrivés à la Place Tiananmen, elles me proposent d’aller boire un thé avec elles. Je m’en sors en leur disant que je voudrais faire des photos de la place avant que la lumière ne devienne moins bonne. N’insistant pas, elles me quittent. Autre catégorie de gens qui vous abordent, ceux qui veulent se faire photographier à côté d’un étranger, chose finalement amusante et qui semble faire très plaisir au demandeur. C’est ainsi que je dois désormais figurer dans les souvenirs d’une bonne dizaine de Chinoises et Chinois ! Finalement, arrivé à l’autre extrémité de la Place Tiananmen, un gars de Shanghai m’aborde et, aimant toujours converser avec les gens, j’entreprends de visiter le quartier commerçant de la rue Qianmen situé non loin de là pour profiter de ses commentaires. Celle-là, je ne la vois pas venir, et avant que je puisse m’esquiver, je me trouve à déguster d’excellentes variétés de thés, mais dont la «digestion» est difficile pour le porte-monnaie … C’est donc franchement frustré que je prends ensuite le métro pour rejoindre mon hôtel. D’ici quelques jours, je rigolerai fort probablement de ma mésaventure, mais en attendant, elle est dure à encaisser ! |
Premier contact avec la Chine
25 janvier 2011
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2 janvier 2011. Mon premier contact avec la Chine est un «bonne année» lancé, en français et avec un large sourire, par deux sympathiques hôtesses de l’air d’Hainan Airlines au moment de l’embarquement à l’aéroport de Bruxelles-National. Il faut dire que nous sommes le premier janvier. Un peu plus de neuf heures de vol plus tard, j’ai droit à mon premier contact visuel avec le pays de Mao. Peu après cinq heures du matin, nous survolons, en effet, Pékin en passant par le sud de la ville avant de nous aligner pour nous poser à l’aéroport de Beijing Capital. Une mégalopole de 17 millions d’habitants surgissant de la nuit, mais éclairée plus modestement que certaines villes américaines, me semble-t-il. Je garde toujours un côté émerveillé lorsque j’arrive dans un nouveau pays et c’est encore le cas cette fois-ci, même si de plus en plus la Chine devient une destination courue, presque rendue banale tellement on en parle ou on entend des commentaires de personnes qui y sont allées. Le débarquement, les contrôles et le taxi pour me rendre à l’hôtel me font penser que je pourrais être n’importe où en Amérique du Nord ou en Europe. Après un petit repos à l’hôtel situé près de la station de métro Sanyuanqiao, je pars à la découverte du quartier. Dans toutes les directions, on peut observer à perte de vue des immeubles-tours tant corporatifs que de logements. Deux énormes artères, dont j’ai renoncé à compter les voies de circulation, se croisent à cet endroit et drainent leur flot continu de circulation, dense, même pour un dimanche, lendemain du jour de l’an. Il faut dire que trois millions de véhicules circulent quotidiennement à Pékin. Je ne me promène pas trop longtemps pour tomber sur des points de repère connus. Parmi quelques échoppes locales, je note la présence d’un McDonnald’s, de deux 7-Eleven et d’un Subway. Sur les trottoirs, les Chinois de tous âges, bien enveloppés dans leur doudoune, déambulent. Devant un magasin d’électronique en fête, une petite scène avec un animateur présentant quelques numéros de danse, attirent les badaux. Un peu plus loin, sous l’œil amusé d’un agent de police, ce sont quelques messieurs plus âgés et rassemblés en cercle compact qui jouent à un jeu de société semblant remonter à l’origine de la Chine. Le jeu est déployé sur un porte-bagages de vélo et il y a de la stratégie dans l’air. Dans un petit parc coincé entre un immense hôtel et un gigantesque concessionnaire Toyota, des appareils d’entraînement et une table de ping-pong ont été installés afin que les passants puissent pratiquer de l’exercice physique et ceux-ci ne s’en privent pas. La Chine semble bien avoir changé depuis Tintin et le Lotus Bleu ! |
De Beijing à Shanghai
24 janvier 2011
Du 1er au 20 janvier 2011, j’ai eu l’occasion d’effectuer mon premier voyage en Chine dans le cadre d’un séjour du groupe « Exploration ÉNA » visant à visiter des industries et maisons d’enseignement du secteur aéronautique. Plusieurs choses m’ont surpris en Chine. Tout d’abord, de nombreux média occidentaux ont tendance à faire passer le gouvernement chinois comme un régime totalitaire exerçant un contrôle sans pitié sur ses citoyens et lorsqu’on arrive sur place, c’est un peu le contraire qui apparaît. Les Chinois sont vêtus comme nous, circulent librement, possèdent une voiture et dépensent allègrement dans les centres commerciaux. Je dirais même, qu’à certains égards, il manque d’autorité, en ce qui concerne la circulation automobile, par exemple. En effet, depuis seulement dix ans, les Chinois peuvent acheter une voiture et l’utiliser à des fins personnelles. C’est ainsi que la circulation dans les grandes agglomérations est devenue cauchemardesque en à peine quelques années. Pour donner une idée, il circule quotidiennement trois millions de véhicules à Pékin. Les Chinois se conduisent comme de vrais sauvages lorsqu’ils sont sur les chaussées (j’ai hésité à utiliser le mot « sauvages », mais à la réflexion, c’est le seul qui convient), sauf mon ami Fei qui, au volant de sa Citroën, essaye très calmement de ne pas être entraîné dans un jeu d’autos tamponneuses. J’ai demandé à un autre ami s’il existait un code de la route en Chine et j’ai été très surpris qu’il me réponde par l’affirmative ! La police chinoise est régulièrement présente sur les routes, mais est complètement débonnaire. Même dans les autres aspects de la vie courante, de nombreux Chinois sont indisciplinés, mais ne sont pas réprimandés (notez qu’en Belgique ou au Canada, c’est souvent le cas aussi …) La politesse ne fait pas non plus toujours partie des coutumes chinoises. Il est très fréquent, en effet, à la sortie d’un ascenseur ou d’un métro, de se faire bousculer sans ménagement par quelqu’un bien décidé à entrer avant que vous ne soyez sortis. Les Chinois que l’on croise ont toujours un visage un peu terne sans émotion. Toutefois, si vous leur souriez, en général ils vous répondent par un sourire également, même s’il s’agit d’un policier ou d’une contrôleuse de billets d’autobus. Quant à l’image largement répandue du Chinois crachant à tout bout de champ n’importe où, malgré de nombreux efforts d’éducation de la population, il demeure malgré tout un grand nombre d’irréductibles. Le plus répugnant qu’il m’ait été donné de voir est cet homme qui, en plein centre d’achat bien achalandé à Zhuzhou, envoya son crachat mûrement ruminé sur le plancher entre deux personnes … La technologique visible partout m’a aussi marqué principalement dans les transports en commun. Des trains circulant à une vitesse moyenne supérieure à 200 Km/h avec une ponctualité helvétique sont monnaie courante. Certains atteignent même 300 Km/h et plus, de quoi reléguer les tortillards de Via Rail à l’âge de la pierre. Le nec plus ultra est probablement le Maglev évoluant à 430 Km/h entre le centre-ville de Shanghai et l’aéroport de Pudong. Les métros sont également d’une efficacité enviable par bien des villes occidentales. J’ai aussi appris qu’il y avait 500 millions de téléphones cellulaires en usage alors que la population chinoise tourne autour de 1,3 milliard de personnes ! Un gros problème que la Chine a à maîtriser est la protection de l’environnement et la pollution. Cette dernière se fait sentir très fort dans les agglomérations et les zones industrielles. Très souvent, il règne un smog malsain et, personnellement, j’ai été pris de quintes de toux sèche parfois assez désagréables. Assez curieusement, ayant passé une journée en campagne, cette toux avait disparu comme par enchantement. Des détritus sont aussi souvent visibles, parfois même sur des sites historiques ou naturels. Mais il est vrai que certains quartiers de Bruxelles et de Montréal sont également jonchés d’immondices très disgracieuses … Notre séjour en Chine était destiné à visiter des entreprises et des écoles du secteur aéronautique. À caque étape, nous étions reçus, transportés et généreusement nourris par nos hôtes. Je dois admettre que l’accueil auquel nous avons eu droit de la part de nos partenaires chinois fut absolument irréprochable. Nos amis furent ponctuels, très serviables et d’une politesse de tous les instants. Souvent, en Chine, la barrière de la langue est totalement infranchissable. Lorsqu’on se promène dans certaines rues, il n’existe aucun repère connu pour l’occidental. Dans les grandes villes, certaines traductions ou indications anglaises existent. Quant aux Chinois, la très grande majorité d’entre eux ne parlent pas anglais et il faut se débrouiller par gestes, ce qui peut amener à des situations cocasses comme la fois où, dans un restaurant de Shenyang, j’ai dû mimer mon besoin d’aller à la toilette à notre serveuse. La majorité de Chinois qui parlent anglais sont peu habitués à entendre différents accents et différentes prononciations. La communication peut ainsi vite tourner au dialogue de sourds, car, eux-mêmes, ont régulièrement une prononciation assez éloignée de l’anglais d’Oxford. À Shanghai, toutefois, il m’a semblé qu’un plus grand nombre de Chinois parlent l’anglais plus facilement. Quand on demande à un Belge comment ont été ses vacances, il vous répondra « ça a très bien été, on a bien mangé » ou le contraire. Je puis donc affirmer que les Belges doivent passer de très bonnes vacances en Chine car la nourriture ne m’a jamais déçu. Même si on ne sait pas toujours ce que l’on mange, dans mon cas, tout a été très bon et délicieux. Étant assez fatigué en soirée, je n’ai malheureusement pas pu accompagner les jeunes lors de leurs virées nocturnes, mais ils m’ont raconté quelques-unes de leurs aventures culinaires et il semblerait qu’ils aient bien apprécié goûter à du chien, du serpent ou du pénis d’âne. J’essaierai la prochaine fois, moi aussi, c’est promis ! N’ayant été que dans des grandes villes et centres industriels, je n’ai donc eu qu’une vue « urbaine » de la Chine. Probablement qu’il existe des différences notoires avec les campagnes, les régions reculées ou les minorités ethniques. Ce serait à découvrir dans un prochain voyage que je me jure de faire. Néanmoins, de manière générale, je dirais que, sans être dépaysé autant qu’au Maroc en mars dernier, j’ai été très impressionné par ce que j’ai pu voir de ce pays en évolution exponentielle. Je pense que, malgré tout ce que l’on peut dire à leur encontre, les Chinois ont pas mal de leçons à nous donner. Dans les semaines qui suivent, je vous ferai part de mes commentaires et impressions au sujet des différentes étapes de mon périple au rythme de l’avancement du traitement des milliers de photos prises au cours du séjour. Ces commentaires ont été écrits sur place « à chaud » et reflètent donc mes sentiments du moment livrés tels quels. Vous les trouverez tant sur ce blogue que sur celui de « Passion Aviation ». En général, j’évite de trop lire de guides touristiques ou de visiter des sites Internet avant le départ afin de découvrir par moi-même une ville ou un pays sans en avoir une idée préconçue. C’est donc en étant sur place, en cherchant des informations sur Shanghai, que j’ai trouvé le blogue « Vues de Chine » réalisé par une Française vivant là-bas et que je vous conseille vivement pour sa vision très humaine. Je vous suggère également un autre excellent blogue sur la Chine, wang888.skynetblogs.be, réalisé par un Belge qui commente l’actualité chinoise de façon très intéressante. J’ai ajouté ces deux blogues à ma liste de liens. |
Statistiques
23 janvier 2011
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Avec un peu de retard pour cause de séjour en Belgique et en Chine, je tiens à vous souhaiter ce qu'il y a de mieux pour l'année 2011. Mais qui dit nouvelle année, dit aussi bilan de l'année écoulée. Allons-y donc avec les statistiques des galeries "Découverte" sur Fotopic. En 2010, 54245 images ont été "cliquées" alors qu'il y avait 3478 photos différentes. Le plus haut score enregistré concerne la galerie "Photos de trains" avec 19695 photos "cliquées" suivie par la "Belgique" avec 13830 photos "cliquées". Si on tient compte de toutes les galeries Fotopic sans distinction, on parle alors d'un total de 148457 photos "cliquées" et de 10031 photos réparties sur toutes les galeries. Je tiens donc à remercier très chaleureusement tous les visiteurs, réguliers ou non, qui me confortent dans l'idée qu'une photo, c'est fait pour être partagée. |
Meilleurs voeux pour 2011 !
18 décembre 2010
2010 fut une bonne année pour ma compagne Louise et pour moi. En ce qui me concerne, j'ai eu l'occasion de découvrir le Maroc en mars dernier. Cela faisait de nombreuses années que je souhaitais visiter ce magnifique pays et l'occasion est venue d'y aller avec des élèves de l'École nationale d'aérotechnique dans le cadre d'un voyage du groupe "Exploration ÉNA". Toujours dans le même concept de voyages d'étudiants, 2011 devrait nous faire découvrir un autre pays extraordinaire : la Chine. Je ne manquerai pas de vous faire part de mes impressions dans ce blogue ainsi que de partager nos photos dès notre retour. Louise se joint à moi pour vous souhaiter une excellente année 2011. Version PDF de la carte de voeux (1,24 Mo). |
Le blogue "Découverte"
28 novembre 2010
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Il y a un peu moins d'un an, j'ai lancé mon blogue aéronautique qui, au fil du temps, s'est avéré être un succès. Ceci m'a donc amené à repenser mon ancien site "Découverte" et, fort de l'expérience acquise, j'ai donc décidé de créer ce nouveau blogue. Il sera dédié à tout ce qui n'est pas aéronautique, mais principalement aux voyages qui sont également une passion chez moi. M'intéressant aux chemins de fer en grandeur réelle ainsi qu'aux trains miniatures, ce blogue "Découverte" traitera aussi de ces sujets. À la rubrique "Galeries et sites", vous pourrez trouver des liens vers toutes mes contributions sur Internet. Faisant beaucoup de photos et pas uniquement aéronautiques, vous pourrez vous évader en vous laissant aller au gré des clichés pris lors de mes voyages réalisés sur quatre continents. La rubrique "Bibliographie" est consacrée à des critiques de livres traitant de voyage, d'aventure ou de nature. À la section "Internet", vous trouverez quelques-unes de mes photos non-aéronautiques qui ont été diffusées sur d'autres sites. Enfin, à la rubrique "Liens", je vous suggère de visiter les sites de quelques collègues photographes. Bien entendu, ce blogue sera régulièrement mis à jour et plusieurs nouvelles rubriques ou sous-rubriques pourraient voir le jour au fil du temps. Si ce blogue porte le même nom qu'une émission de Radio-Canada, c'est tout à fait fortuit et totalement involontaire. Selon le dictionnaire Larousse, "découverte" signifie : "action de trouver ce qui était inconnu, ignoré ou caché". Depuis notre naissance, la découverte est perpétuelle. Dans mon cas, j'ai simplement, et en toute modestie, l'intention de la partager ainsi que, souvent, l'émerveillement qui y est associé. Bonne visite ! N'hésitez pas à me faire part de vos commentaires; ce sera apprécié. |
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